Coup d'un soir (ou presque) - Histoires de Sexe

Coup d'un soir (ou presque)

... notre conversation dans une chambre d’hôtel ? Va-t-il faire glisser ma culotte ou me l’arracher ? (Pourquoi j’en ai mis une d’ailleurs ?). Balance-t-il tout dans ma bouche ou sur mon ventre ? « Cochonne » je suis, « cochonne » je resterai).

Comme s’il avait lu en moi, il me propose de le suivre non pas pour aller faire une balade sous cette pluie battante (oui ! il pleut aussi l’hiver dans le sud), mais plutôt d’aller dans un lieu plus propice à nos échanges devenus aussi coquins que ceux par écrits, mais qui commencent à intéresser un peu trop nos voisins d’alcôve… Je fais ma petite bouche mutine et mes grands yeux étonnés de fille surprise, mais au fond de moi mon vagin crie :enfin !… Bel hôtel; plein centre-ville, j’ai eu peur du Formule 1 d’avant le péage de l’autoroute, où les chambres sentent la fumée et les pieds et où on se demande quelle odeur est la pire, et que pour notre première nuit un ex m’a offert royalement… Lol ! Heureusement pour lui sa prestation fut bien meilleure que la chambre…

La chambre est assez jolie et le lit immense, je file dans la salle de bain satisfaire un besoin naturel et m’assurer que rien n’a coulé dans ma culotte puis y passer un coup de gant mouillé afin de rafraîchir la jolie rose épanouie qui s’y cache et me repomponner un peu, je me regarde dans la glace, satisfaite de l’ensemble qui s’y reflète, en pensant très fort :toi mon garçon, tu as intérêt à être aussi bon à la pratique qu’à l’écrit… Lol !

Je fais mon entrée, sûre ...

... de mon sex-appeal, deux grands bras musclés me soulèvent du sol, me font tourbillonner pendant qu’une bouche aux lèvres épaisses se colle à la mienne, et qu’une langue entrouvre celle-ci dans un baiser fougueux. Ses mains sont collées à mes fesses, les pétrissent en même temps, j’entoure sa nuque de mes bras, et me laisse aller comme une poupée de chiffon. Ses mains passent sous ma culotte, la suite est indescriptible, si rapide. Tout en me soulevant, je sens ma culotte glisser le long de mes cuisses puis jusqu’à mes chevilles, je laisse tomber mes talons un à un sur la moquette que ma dentelle rejoint dans la foulée… Nos langues tournent et tournent l’une autour de l’autre, mon bas-ventre est collé à la bosse de son pantalon que je sens grossir à vue d’œil, j’ai le cul à l’air et une main fouille mon entrejambe. Waow ! on est loin du poème de Ronsard, mais j’adore cette entrée en matière et lui fais comprendre en me frottant à sa proéminence. Je l’entoure de mes deux cuisses, ma foufoune littéralement collée à son sexe, du coup il peut me pétrir les seins qui ne demandent qu’à sauter hors de leur Wonder Bra (je n’ai pas une très grosse poitrine (90 B), mais je sais la mettre en valeur !)

Nos bouches ne font plus qu’une, je descends un de mes bras le long de son corps, il est assez bien fait, musclé sans être bodybuildé, très peu de ventre, je lui donne trente-cinq/quarante ans, ma main glisse entre nos deux corps jusque son entrejambe et frotte son paquet, ce que je sens ...