1. Coup d'un soir (ou presque)


    Datte: 24/09/2022, Catégories: fh, extracon, inconnu, hotel, fsoumise, ffontaine, Oral 69, pénétratio, fsodo, totalsexe, Auteur: Volupta, Source: Revebebe

    ... nombre de : 1 (moi !) et dont ils partageraient avec modestie les quelques subsides que je gagnerais en ouvrant bien grand ma bouche ou mes cuisses… à mon libre choix quand même !
    
    Et puis quelques perles, dont il faut presser, trier, represser et retrier afin d’en extraire le nectar de deux ou trois et se dire qu’un seul d’entre eux sera l’élu, car oui, je « m’offre » à l’heureux gagnant de ce concours dont je serais la seule à connaître à l’avance le tirage…
    
    Bastien est mon préféré, belle allure, beaux textes à la fois raffinés et coquins sans jamais être vulgaires ni présomptueux… sachant faire monter la pression et me rendre impatiente à attendre toute fébrile ses prochains messages. État dont bénéficie pour le moment mon compagnon ne se rendant même pas compte que je viens chercher son sexe toute seule alors qu’il regarde la télé, que je m’en régale goulûment avant de m’empaler dessus afin qu’il me baise, tout en pensant à Bastien. Lui est ravi, persuadé qu’il vit avec une « cochonne »… Certes, il n’a pas tout à fait tort, mais ce n’est pas lui mon « porc » préféré à cet instant…
    
    Bastien et moi en sommes à prendre « rendez-vous ». Rien que d’y penser, ma petite culotte est à tordre, j’ai le bout des seins qui se dresse en voyant des sexes qui sautillent partout avant de s’engouffrer joyeusement dans tous mes orifices… J’ai envie d’une bite, d’une queue, d’un zob, au bout duquel il y a un homme avec des mains, une langue qui me feront chavirer, il est mon « ...
    ... Cyrano » érotique. Ses textes sont d’une volupté et d’un érotisme à transformer sœur Theresa en Clara Morgane et moi en Lucrèce Borgia nymphomane !
    
    14 h au lieu de 13 h 45… j’arrive un peu en retard exprès (une jolie fille doit se faire désirer), il est là, assis seul dans une alcôve de cette brasserie de luxe sur un des boulevards de ma jolie ville du sud, devant lui une vodka-martini (au shaker pas à la cuillère… Non ce n’est pas lui ! Lol…) à demi entamée, et le journal : « Marianne » (c’est notre signe de reconnaissance). Moi, j’ai une jupe bleue qui devait être un pantalon rouge et un petit béret turquoise qui devait être assorti à mon jean rouge… (Toujours se ménager une porte de sortie afin de pouvoir prendre la poudre d’escampette s’il y a tromperie sur la marchandise !). Il est mieux que sur sa photo de profil, il paraît plus mûr avec sa barbe de trois jours taillée à la perfection, bonne impression…
    
    Je commande la même chose (autant être sur la même portée de notes), notre conversation s’engage, d’abord banale, puis glissant vers des notes plus épicées, sa voix est suave, ses yeux pétillent, je le savoure à l’avance comme une pâtisserie derrière la vitrine d’une boulangerie. Troisième verre et nos esprits s’échauffent (surtout le mien !), il me prend la main, je le laisse faire, l’alcool commençant à faire bourdonner mes tempes, je ne vois plus que ses lèvres remuer et dans ma tête des idées folles commencent à arriver par paquet : quand me propose-t-il de finir ...
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