Coup d'un soir (ou presque) - Histoires de Sexe

Coup d'un soir (ou presque)

... dans la paume de ma main est tout à fait honorable, pour l’instant 10/10, cher Monsieur ! Sa respiration s’accélère, logique puisque mes doigts agiles ont fait glisser la ceinture de son pantalon et que ma main a plongé sous l’élastique de son boxer attrapant au passage la tige longue, chaude et palpitante qui y habite. Nous tenons chacun l’objet de notre désir dans la main, lui ayant déployé un doigt qui fouille ma vulve trempée à souhait. Moins de cinq minutes dans la chambre d’hôtel et me voilà déjà les fesses à l’air avec un doigt dans la chatte et une bite dans la main, tout cela sans se dire un seul mot puisque nos lèvres sont comme soudées. Record battu !

Il me repose au sol, je quitte sa bouche, mais pas son sexe, je sais très bien ce que je veux, mes tempes bourdonnent, je finis de dégrafer son pantalon qui tombe à ses chevilles, je plie doucement les jambes pour me retrouver à genoux devant lui, libère sa queue de sa prison, belle bête, je la hume, elle sent bon le musc, mes lèvres entourent aussitôt son gland, il pose une main sur ma tête, ma bouche glisse doucement le long de sa tige, il est à moi… J’aime cette position, à genoux devant un homme et son sexe dans la bouche, non par soumission (quoique !), mais parce que je ressens toute la vulnérabilité de celui que je suce, si j’arrête ma prestation il me suppliera de continuer et je n’ai pourtant jamais envie d’arrêter… Lol ! Sucer est mon péché mignon, ma première pipe me transporta d’extase (pourtant je ...

... n’avais que quinze ans !). Sentir ce membre sur ma langue, ce gland glisser entre mes joues, tremper la hampe de salive pour qu’elle s’enfonce encore plus loin, gober les deux boules juteuses, pour qu’enfin après de lents va-et-vient il explose, inondant mon palais de liquide douçâtre et gluant sans en perdre une goutte avant de tout avaler d’un trait, puis le garder ainsi au chaud jusqu’à ce que je puisse l’avoir tout entier et tout mou dans ma petite bouche. Un régal !

Pour l’instant Bastien accompagne de sa main les mouvements de ma tête, de petits râles sortent de sa gorge, l’état de raideur de son membre me laisse à croire que je lui fais du bien. Je caresse ses boules d’une main et le masturbe dans ma bouche de l’autre dans un mouvement torsadé ni trop vite ni trop lentement, mon piercing sur la langue frottant son gland turgescent (un petit secret pour des fellations réussies : le piercing !). N’y tenant plus, il me transporte sur le lit, fait passer mon chemisier, mon soutif et ma jupe par-dessus mes épaules, me voici nue et offerte, je pose ma tête sur son bas-ventre, son sexe est là devant moi, je le regarde, dressé telle la proue d’un navire et reprend ma caresse en l’avalant en entier d’un seul coup… Je vais te faire la pipe de ta vie, mon chéri !

Je descends doucement jusqu’à la base de sa pine, je suis passée maîtresse dans l’art de la gorge profonde, la technique qui rend fous tous les hommes (attention, il faut beaucoup de pratique !) puis remonte, finissant ...