1. États d'âme...


    Datte: 22/09/2022, Catégories: fh, inconnu, caférestau, amour, Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... étroite cuisine éclairée par une petite fenêtre haute donnant sur des toits, à gauche une petite pièce un peu bureau-dressing-débarras, puis dans l’angle une chambre, une petite salle de bains et enfin le couloir se terminait par le salon, la plus grande des pièces qui devait faire environ seize mètres carrés. Les deux fenêtres, comme le dressing, donnaient sur une cour intérieure assez peu éclairée, d’autant que la nuit tombait. Elle avait peint les vieux parquets en blanc, ce qui était plutôt sympa et agrandissait un peu la pièce, les murs étaient tendus de toile de jute vert amande et orangé, car, me dit-elle, les murs étaient en si mauvais état que c’était la meilleure solution pour tout camoufler. Elle se laissa tomber sur un petit sofa à deux places, et m’invita à nous servir, le bar étant sous la télé. Je trouvai effectivement une bouteille de Jack Daniel’s, elle me dit souhaiter rester au cognac pour ne pas faire de mélange.
    
    — Ah, je vais nous trouver quelque chose à grignoter. Mais, si je peux vous demander encore un service…
    — Bien sûr.
    — Pouvez-vous m’aider à poser ce fichu pantalon, ça va être difficile toute seule.
    
    J’arrachai ses bottes, les deux cette fois-ci, puis elle se releva sur une jambe et dégrafa son jean, le passa sous les fesses et se rassit. Je glissai mes pouces sous l’étoffe élastique au-dessus de sa blessure et tirai en soulevant. L’opération se passa sans encombre, mais j’avoue avoir eu un peu chaud. J’avais juste sous le nez un petit ...
    ... string bordé de dentelle blanche, au triangle assez transparent, qui m’offrait une vue parfaite sur un ticket de métro bien entretenu au-dessus d’une vulve charnue au relief renforcé par le string. Sur cette peau mate, c’était tout simplement sublime. Elle me remercia, prit le pantalon et les bottes et partit d’un pas prudent et lent vers son dressing, je supposais. Le côté pile valait largement le côté face ! Deux jolies fesses pommées à souhait se contractaient à chaque pas, parfaitement dégagées par les ficelles dentelées qui ne faisaient que les souligner. Quelle belle gazelle ! Un régal pour les yeux.
    
    Elle revint au bout d’un assez long moment vêtue d’un petit peignoir de satin bleu pâle, genre kimono court, et portant une baguette entamée, un chorizo et une planche à découper. Je la débarrassai, m’agenouillai sur le tapis devant la table basse et commençai la découpe. Elle trouva que la douleur commençait à disparaître, effet des soins ou de l’alcool. Nous trinquâmes et bûmes en grignotant. À chaque fois qu’elle se penchait pour prendre un bout de pain et de saucisson, le peignoir bâillait et me donnait une vue plongeante sur la naissance de ses seins qui semblaient libres de tout soutien-gorge. Il y avait du monde au balcon ! Nous en profitâmes pour faire un peu connaissance. Elle était d’origine espagnole, ses parents avaient fui le franquisme, elle bossait dans une boîte de reprographie et faisait des tirages pour les architectes, des entreprises, même des photocopies ...
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