1. Christine : invitation et conséquences


    Datte: 20/09/2022, Catégories: ff, fff, jeunes, fête, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, caresses, intermast, Oral tribadisme, , lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... yeux brillaient d’envie réciproque.
    
    Christine remua son bassin, Chantal ondula des hanches. Elles se libérèrent une main. Chantal écarta ses petites lèvres, Christine tira sur sa touffe. Sa vulve se moula entre les larges nymphes de son amie. J’enveloppe sa mangue avec mes escalopes, pensa Chantal. Elles se reprirent la main. Elles s’agitèrent, se tortillèrent, s’accordèrent, se frottèrent chatte sur chatte, se frictionnèrent en rythme. Leurs jus se mêlaient, vieille mouille et miel nouveau se mélangeaient en crème grasse, lubrifiaient le clapotis des sexes.
    
    Elles s’étreignirent plus fort, lèvres collées, soudées, fondues en une seule vulve. Chantal sentait par instant la boule dure du clitoris de Christine heurter le sien sous son capuchon. Un éclair les traversait à chaque contact, mais le corps de Christine en vibrait plus. Chantal regretta de ne pas avoir un aussi gros clitoris que Julia. Elle se tordait en vain pour accroître la sensation et Christine n’en profitait que mieux. Malgré l’abondance des sucs, les peaux fines s’échauffaient. Chantal ne pouvait plus distinguer la douleur de l’excitation. Soudain, une décharge électrique la parcourut. Christine lui suçait les orteils, les léchait, les mordillait.
    
    Un pied se proposa à sa bouche, elle s’en empara, téta, léchouilla, mordit…
    
    Elles explosèrent ensemble, longuement, une secousse après l’autre, le visage crispé, les yeux dilatés, la gorge serrée, tremblantes de tous leurs muscles, la poitrine sans air, le ...
    ... vagin débordant, le feu au ventre, l’esprit vide, perdues dans un acmé sans fin.
    
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    Le matin – le soleil, plutôt – les trouva blotties l’une contre l’autre, recroquevillées sur le seul coin du lit dont les draps n’étaient pas imbibés des traces de leurs prouesses nocturnes. Elles se bécotèrent les lèvres, le nez, les paupières, la bouche pâteuse et le corps poisseux. Un parfum indéterminé de sueur et de sexe embaumait la chambre de souvenirs délicieux. Leurs membres étaient las, elles s’obligèrent à l’effort pour se disjoindre, riant en silence des petits bruits mouillés qui ponctuaient leurs mouvements.
    
    — Il fait un temps superbe, je vais mettre tout de suite les draps à laver, constata Chantal en ouvrant la fenêtre.
    — Je t’aiderai à les étendre, promit Christine en regardant son amante soulignée de lumière. Viens me faire sentir ta chatte.
    — Ça veut dire que tu restes, se réjouit Chantal en l’enjambant. C’est parce que je sens bon ?
    — Tu pues l’amour, ma douce. J’adore !
    
    Un rapide soixante-neuf leur procura une toilette mutuelle, sommaire, goûteuse, nécessaire et tendre, de leurs orifices vaginaux et buccaux. Leurs langues se permirent un léger détour par les œillets, juste pour tester la saveur et l’appréciation d’une caresse qu’elles n’avaient pas encore pratiquée. Leurs grognements de satisfaction les rassurèrent réciproquement.
    
    Elles firent un crochet par la salle de bain, dans leur tenue de nuit pour les quelques mètres qui ...
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