1. Christine : invitation et conséquences


    Datte: 20/09/2022, Catégories: ff, fff, jeunes, fête, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, caresses, intermast, Oral tribadisme, , lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... les en séparaient. Elles passèrent à tour de rôle sous une douche express, non par pudeur inutile, mais pour éviter de se bousculer autour du lavabo. Leur vessie allégée(dans le bidet quand le bac était occupé) et leurs cheveux bien enturbannés, Chantal sortit deux serviettes sèches dans lesquelles se draper avant de rejoindre la cuisine où pépiaient leurs filles.
    
    Trois fourmis à moitié dénudées s’affairaient devant l’évier. Babette et Brigitte avaient passé un tablier de cuisine, et coopéraient, l’une lavant assiettes, casseroles et instruments, l’autre les rinçant. Sandra, en t-shirt court, essuyait et entreposait la vaisselle propre. Chacune avait couvert ses fesses d’une proprette petite culotte. Elles bavardaient joyeusement, sinon chantaient en travaillant, et accueillirent gaiement leurs mères passablement surprises.
    
    — Oh, mais on a aussi débarrassé et rangé la salle à manger, précisa Sandra toute fière.
    — Ben, on s’est dit que ça gagnerait du temps, expliqua Brigitte. On savait que vous vous lèveriez tard…
    — Ah bon ?
    — Heu… Oui, vous avez veillé longtemps, je crois, hier soir…
    — Et votre petit-déjeuner est prêt, ajouta précipitamment Babette. On l’a préparé quand on vous a vues… heu… entendues, sortir de la chambre.
    — On vous le porte sur la terrasse, si vous voulez. Il fait grand soleil.
    — Merci ! Vous êtes des filles parfaites, conclurent les mères pour couper court.
    
    Chantal et Christine échangèrent un regard désabusé en s’installant autour de la ...
    ... table de jardin. Point n’était besoin de ruser, leurs filles n’avaient aucune incertitude sur leurs activités de la nuit. Elles ne semblaient pas s’en soucier plus que ça, à dire vrai. Au contraire, elles en paraissaient plus proches, comme des sœurs.
    
    — Je te l’avais dit, rappela Chantal. Brigitte et Sandra ont l’habitude.
    — Ça m’étonne plus de Babette. Tes filles ont une bonne influence sur elle. On dirait qu’elle te connaît depuis toujours ! D’ordinaire… Ah, voilà nos trois Grâces, s’interrompit Christine.
    
    Le plateau déposé et les assiettes servies, Brigitte s’attarda un moment en considérant sa mère et son amie enroulées dans leurs draps de bain.
    
    — Vous n’avez pas envie de profiter du soleil ? Il fait chaud et personne ne peut voir, ici.
    — Nous ne voulons pas choquer vos chastes regards, ma chérie, s’amusa Christine.
    — Bof ! On vous regardera pas ! On sortira pas, d’ailleurs, on a des choses à faire… Dis, Maman, continua-t-elle, j’ai un truc à te demander.
    
    Chantal, qui commençait à dénouer sa serviette, suspendit son geste.
    
    — Oui ?
    — Ben, Babette en a marre d’être pensionnaire. Mon lit est assez grand. On a bien dormi toutes les deux cette nuit. Je me disais qu’on pourrait la prendre avec nous, puisqu’on va au même lycée. Non ?
    
    La question fut mise en délibéré, avec promesse d’une réponse dans la journée, et Brigitte s’en fut. Mais contrairement aux assurances données, les filles sortirent plusieurs fois sur la terrasse, sous des prétextes divers. Pour ...
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