Christine : invitation et conséquences
Datte: 20/09/2022,
Catégories:
ff,
fff,
jeunes,
fête,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
caresses,
intermast,
Oral
tribadisme,
,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... masturbait toujours, frottait ses lèvres, écrasait son clitoris, la pénétrait d’un doigt, faisait gicler sa mouille, explorait son vagin, le trouvait trop large, ajoutait un doigt, la branlait, en ajoutait un autre, les enfonçait… Elle jouit d’un coup, empalée sur trois doigts qui la fouillaient, ne sachant si c’étaient eux qui l’avaient soulevée ou si c’étaient ses genoux qui s’étaient dérobés…
— Hé ho ! Chantal ? Ma Chérie… Chantal ? Réveillez-vous…
Elle ouvrit paresseusement les paupières. Le visage de Christine était tout près du sien. Elle était dans ses bras, allongée sur le lit, ses jambes encore entre les siennes. Une main douce lui caressait la joue, laissant des traces humides. Deux yeux tendres observaient son retour à la vie. Une bouche se posa affectueusement sur ses lèvres, des doigts mouillés s’interposèrent. Elle comprit, sourit, sortit sa langue pour lécher à deux son jus onctueux.
— Chantal, mon amour, quel bel orgasme vous m’avez offert ! J’en ai presque joui moi-même.
Christine était sincèrement heureuse. Un peu honteuse de son égoïsme, un peu gênée de raconter son fantasme, poussée par le besoin d’être absolument franche, Chantal lui confessa le scénario auquel elle s’était abandonnée. Christine ne l’en embrassa que plus ardemment.
— Maintenant qu’elle a rempli son usage, dit-elle en riant, je peux retirer ma robe ?
— Oui ! ! C’est moi qui vais te l’enlever, répondit trop vite Chantal, heu… vous l’enlever…
— Tu peux me tutoyer, va ! Tu ...
... peux me dire « tu » avant de m’avoir fait jouir… Oui, déshabille-moi. J’adore être mise nue par une femme en rut !
Pour la suite, mon Dieu, que dire ? Que sa robe vola ? Oui ! Que Chantal la culbuta, jambes en l’air sur le lit ? Oui ! Qu’elle se jeta sur sa chatte ? Oui ! Qu’elle lui dévora les seins ? Oui. Qu’elle suça ses tétons à lui faire mal ? Oui. Qu’elle revint aspirer ses grosses lèvres ? Oui. Que Christine guidait le gougnottage vers les zones les plus sensibles ? Oui. Qu’elle réclama d’être pénétrée ? Oui. Qu’elle se plaignit de n’être pas fouillée plus profond, plus fort, plus vite ? Oui ! Qu’elle jouit ? Oui… trois fois plutôt qu’une ! Que Chantal recueillit son orgasme sur ses lèvres ? Oui. Qu’elles s’embrassèrent à corps perdu en échangeant leurs fluides ? Oui.
Elles se reposèrent enfin, allongées et languides, côte à côte, se flattant doucement les seins et le ventre, reprenant souffle et forces, sans se questionner, sûre chacune du bonheur de l’autre. Avaient-elles crié leurs orgasmes ? Probablement. Elles n’en avaient cure.
Une idée leur sourit, pour se détendre. Chantal pivota, s’étendant tête-bêche. Elles croisèrent leurs jambes, se poussèrent chatte à chatte. C’était bon, la douceur et la chaleur des chairs apaisaient l’irritation des muqueuses. Des frissons de bien-être les parcouraient du périnée à la pointe des seins. Elles se prirent les mains, le désir se réveillait. Elles s’attirèrent l’une l’autre, imbriquant plus fort leurs fourches. Leurs ...