Mes dociles (1)
Datte: 16/09/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... le martinet, me laisse glisser un peu plus dans mon fauteuil et pan, je flagelle ses seins. La belle me regarde encore, presque hébétée.
— Ça te plaît à te voir ma belle. Je crois que je viens de décrocher le pompon avec vous deux. Mouais, ça m’en fait deux pour le prix d’une. Allez, ma belle, jarrète-moi tes fringues, à poil et fissa.
Ses fringues volent dans le salon. Elle ne garde que sa petite culotte que j’ai tôt fait de découper et de la lui arracher. Sur ses fesses, mes mains s’abattent comme on fesse un cheval. Plus je la fesse, plus elle gémit. Je commence à adorer ma nouvelle femme, pire que tout, j’adore ma nouvelle belle-sœur. Alors, les insultes fusent, tout y passe de pute à salope en passant par tout ce qui me passe par la tête et je jouis comme jamais je n’avais joui. Je lui remplis sa chatte de foutre, comme si je n’avais pas éjaculé depuis une éternité.
Pendant un moment, je suis incapable de bouger, crever le Marc. Je regarde ma belle-sœur, lui gifle sa belle poitrine, l’écarte de ma queue par sa tignasse et la pose devant le cul de sa frangine. Oh pour ça, elle comprend vite la ...
... belle-sœur, sa langue s’enfonce vite dans ce cul si mignon. Ma femme continue à lécher mon fion, parfois ma queue. Le martinet fouette leur dos à toutes les deux et aucune n’ose protester. A croire que toutes les deux ne sont nées que pour servir de vide-couille bien docile.
Et là, je me rends compte que j’ai changé moi aussi. Si j’ai changé, c’est tout neuf, c’est même si frais que ce n’est pas encore mûr. En gros, à ce moment de ma vie, en à peine trois heures, je suis devenu gras dans ma manière de parler, sacrément autoritaire aussi. Pire que tout, j’aime rabaisser ma femme, mon loukoum, ma fleur et c’est à des années-lumière de me déplaire. De toute façon, à la voir, elle est loin de détester. Ce virage à angle droit est un superbe renouveau dans notre couple. Si en plus j’additionne ma belle-sœur, me voilà à la tête d’un superbe mini-harem. Je sens que je n’ai pas fini de prendre mon pied moi.
Je parviens à jouir encore une fois, la dernière. Là, me faut de quoi ravitailler ma chaudière sous peine de ne plus pouvoir. C’est que j’ai passé ma journée à dépanner une pelle mécanique de 45 tonnes et c’est du lourd.