Mes dociles (1)
Datte: 16/09/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... crade que tout le reste. Faut reconnaitre qu’il fait chaud et dépanner sur les chantiers, ce n’est pas le job le plus reposant. Je pue la transpiration à des kilomètres à la ronde. Même moi, j’ai de la peine à supporter mon odeur. Et la voilà qui me lèche mon slip.
— Suce-moi et applique-toi !
Putain, je ne lui ai jamais parlé comme ça. Cette femme mouille, elle aime donc se faire rudoyer, non, pas elle, pas mon pot de miel, mon loukoum. Oh merde, elle suce, masse mes couilles. Mon portable, faut que j’appelle ma belle-sœur, faut qu’elle me raconte tout depuis le début, j’ai loupé la moitié du film ou quoi ?
— Ouais, c’est moi, reviens immédiatement, faut que tu m’expliques comment !
— Du calme, baise-la comme une pute et tu comprendras. Je reviens d’ici une petite heure. On a des choses à se faire pardonner, toi et moi.
Là, je vais jouir, incapable de me retenir devant ma femme que je ne reconnais pas. Pour jouir plus vite encore, j’empoigne ses cheveux et agite sa tête sur ma bite. La vache, c’est qu’elle se laisse faire, qu’elle suce encore mieux. Je sens sa langue sur ma bite, c’est un régal. Je me retire, m’achève à la main par-dessus son visage. Parfois, je la gifle avec ma queue et ça m’excite. Je jute tout ce que j’ai et putain que ça fait du bien. Où est passée ma femme, celle qui était si douce, si tendre, si chatte ? Là, j’ai l’impression de jouir sur une pute. Et pourtant, j’adore ça. C’est bien la toute première fois que je me comporte comme un ...
... porc avec une femme. Je la repousse du pied, couchée sur le sol, mon pied sur sa bouche, elle suce, lèche, nettoie. Aussi, sans attendre, j’enlève ce qui me reste de fringue et entraîne cette femme dans le salon. Je me pose sur mon fauteuil. Elle se couche à mes pieds en continuant à me les laver de sa bouche.
Je pourrais la questionner, mais à quoi bon, je préfère prendre mon pied, là, tout de suite, avec ce qui fut ma douce et tendre moitié. La tirant par sa queue-de-cheval, je l’oblige à remonter le long de mes jambes. Sur le sol, sa mouille fait une jolie tache.
— Lèche ta mouille !
Elle se retourne, regarde la tache, se penche et lèche avec application. Jamais je n’avais osé demander à une femme de s’abaisser si bas. Ce n’est plus celle que j’ai épousée, c’est... En fait, je ne sais plus qui elle est. Cela dit, j’adore la voir ainsi. Elle lèche si bien qu’il ne reste rien. Sur la table basse, dans un petit sac en plastique, quelque chose dépasse, du cuir. Je tire... Oh putain, c’est un petit martinet de poche. Sur le cul de ma femme, je frappe et pas doucement. Elle me fixe un bref instant, je vois un sourire naissant se dessiner sur ce visage si doux. Sa langue est sur mes couilles, je pose mes cuisses sur les accoudoirs, sa langue s’enfonce dans mon cul. Putain, elle lui a fait quoi ma belle-sœur pour rendre ma femme aussi cochonne et soumise que ça ?
Sur mes épaules, deux mains très douces se posent, me massent.
— Tu vois, c’est juste une pute, une ...