1. Chienne un jour, chienne toujours (3)


    Datte: 11/09/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... pressante de par ses attouchements. La nuit avance, les petites chiennes arrivent, Gilberte ordonne qu’elles se lavent bien partout et rapidement avant de nous faire à manger.
    
    Dans le salon de Gilberte, sa bouche fait merveille sur mon corps devenu si tellement réceptif à ses libertines attentions. Je dois être comme Christophe Colomb découvrant l’Amérique, comme une gamine devant la dernière Barbie, excitée, prête à tout pour avoir ce que mon corps réclame à cor et à cri. Mais quand, poussant brutalement son majeur en mon cul, je l’implore de me le fesser aussi durement que possible, elle me prend mon martinet posé sur mon sac. Les lanières meurtrissent mon cul avec une violence inouïe. C’est un délice, car si les lanières s’insinuent cruellement entre mes fesses écartées, sa main fait l’inverse. Mon bonheur n’en est que plus grand au moment de jouir de sa main presque entièrement dans mon vagin. Sa voix se fait crue, sévère quand, d’insultes déchaînées et acerbes, elle me couvre.
    
    — Petite salope, ce que j’aime à pourrir ton cul de putain ! Attends que j’en finisse avec tes fesses de pute, je vais te le fendre de mes deux mains. Les enfoncer jusqu’à ce que tu me cries grâce, salope !
    
    Ses doigts dilatent mon anus, le force, je sens sa main qui pousse. Putain ce que j’aime être enculée. C’est gros, puissant que j’en jouis presque immédiatement. À peine la première main enfoncée dans mon rectum, que je hurle déjà de bonheur. Quand la seconde vient rejoindre la ...
    ... première, c’est encore plus fort, tout le quartier doit m’avoir entendue beugler comme une truie qu’on égorge. Ses mains ne cessent d’aller et venir dans mon cul, parfois ensemble, parfois l’une après l’autre. Gilberte les accompagne d’insultes toujours aussi vulgaires les unes que les autres que jouissives. Soudain, une main se retire, une volée de violentes claques s’abat sur mes fesses. Étrangement, la douleur me fait jouir à nouveau avec encore plus de puissance que le précédent. Mon corps est épuisé, il peine à me répondre quand je le sollicite pour remercier ma belle tourmenteuse.
    
    — Je te promets de venger ces orgasmes lucifériens que tu me donnes. (C’est tout ce que je parviens à dire à cet amour de boutiquière.)
    
    — Je t’attends ma chérie. Nous montrerons à nos chiennes comment on fait.
    
    — J’en peux plus, tu m’as tuée avec tes mains.
    
    — Repose-toi mon ange.
    
    — Plus jamais sans toi.
    
    Elle caresse mon corps avant de me laisser sur le tapis, épuisée, pour s’en aller voir en cuisine. Je l’entends crier. Je rassemble le peu d’énergie qui me reste et j’accours voir ce qui se passe presque en rampant. Je découvre ma sœur léchant sa congénère. Gilberte les bat comme plâtre et aucune ne cherche à échapper à la sanction. D’une belle et large spatule de bois, elle rougit autant les fesses que les seins de ces deux maraudes. La voyant faire, je ne peux empêcher mes mains de la caresser là où ça fait du bien à mon aimée, baisant ses fesses pendant qu’elle fustige à tour de ...
«12...5678»