1. Une histoire de famille - Partie 1


    Datte: 10/09/2022, Catégories: f, hplusag, jeunes, oncletante, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation initiatiq, Auteur: Vixera, Source: Revebebe

    ... me trouve désirable. Je pose ma main sur mon sexe et j’y exerce une pression continue. Aaah c’est booon ! Ma mère ferme l’eau. J’enfile le débardeur et l’accompagne. J’aide dans la cuisine. Une cousine me regarde drôlement. Qu’est-ce qu’elle me veut ?
    
    — Tu n’as pas de soutien-gorge, ça se voit !
    — Pourquoi tu dis ça ?
    — On voit tes bouts de seins qui pointent.
    — Ah, peut-être… pas grave.
    
    Elle part alors en direction de sa chambre. Moi j’aide. Je discute, je pense à mon oncle. Plus vite on aura fini dans la cuisine et plus vite on y retournera.
    
    — Mais que fait Sophie ? demande sa mère.
    
    C’est vrai, que fait-elle ? Je pars la chercher. J’arrive dans le couloir des chambres. J’ouvre la porte de la sienne. Elle se regarde dans une glace, une main sous son tee-shirt. Elle sursaute, rougit et se dépêche de me suivre. En fermant la porte, je découvre son soutif sur le lit. Elle a été l’enlever. Je l’interpelle.
    
    — Sophie, arrête-toi, regarde-moi !
    
    Elle se retourne, figée, comme un enfant pris la main dans le pot de confiture. Je ne dis rien et me dirige vers elle. Je glisse la main sous son tee-shirt, vais directement au contact de son sein gauche. Elle tressaille. Je lui pince le téton et le tire. Il se raidit. Elle se mord les lèvres en silence.
    
    — Voilà, c’est mieux ! Tu n’avais manifestement eu le temps que de réveiller le droit. Ce n’était pas harmonieux.
    
    Elle comprend que je sais. Elle rougit.
    
    — Allez, file, ouste, va dehors !
    
    Elle ne se fait ...
    ... pas prier. Elle court rejoindre les cousins dans la pénombre. Elle a quinze ans, mais je suis sûre qu’elle va essayer de se faire peloter.
    
    Dans la cuisine le dernier café a fini de couler. On les pose sur un plateau et on sort. Mon oncle Stéphane me voit tout de suite. Je me dirige vers lui avec le plateau, je lui offre presque mes seins dessus, fièrement dressés. Je crois que cela lui plaît. Il est presque mal à l’aise devant mon audace soudaine. Je continue à faire le tour. J’ai moins de succès. Je suis juste une fille de la famille. Je m’assois sur un tabouret de façon à être sur le côté par rapport à mon oncle. Je me penche vers l’avant et discute gentiment avec mon grand-père. Stéphane m’observe. Je sais que l’échancrure des manches de ce débardeur est grande. S’il ne voit pas tous mes seins, il en voit forcément une partie. Un bout de poire, le fruit que l’on voudrait cueillir en tendant le bras. Hélas pour toi. Tu ne peux que me mater. Mon sang se remet à circuler rapidement.
    
    Il est 1 h du matin. Tout le monde part se coucher. Je traîne un peu dans les couloirs. J’attends inconsciemment mon oncle. Je feuillette un magazine sur une table basse.
    
    — J’ai passé une très bonne soirée !
    
    Je ne l’ai pas entendu. Il parle à voix basse, il est juste derrière moi.
    
    — Toi aussi, j’espère ?
    — Oui.
    
    Ses mains m’enlacent la taille.
    
    — Oui, c’est tout ? Toujours timide, à ce que je vois.
    
    Il pose ses délicatement ses lèvres sur ma nuque. Je sens l’effleurement d’un ...
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