Une histoire de famille - Partie 1
Datte: 10/09/2022,
Catégories:
f,
hplusag,
jeunes,
oncletante,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
initiatiq,
Auteur: Vixera, Source: Revebebe
Ma première expérience ? Comment lui expliquer ? Comment allait-il le prendre ?
J’étais chez un psy. J’avais vécu un traumatisme, suite à un accident de la route et mes parents tenaient absolument à ce que je fasse quelques séances. Pour ma part, je trouvais cela totalement inutile.
Lors de ce deuxième rendez-vous, il m’a fait parler sur ma vie intime. Ma première expérience ? Je suis d’une nature réservée. De mes douze à mes dix-huit ans, j’étais plutôt un peu ronde. J’avais perdu toute confiance en moi.
Pourtant j’ai un corps et un visage harmonieux et la nature m’a offert des seins qu’envient mes cousines. Je le sais à présent. Je me suis mise au sport et suis devenue addict’ à cela. En quelques mois mon corps s’est transformé et ma silhouette s’est nettement affinée. J’ai même vu, petit à petit, des garçons se retourner dans la rue sur mon passage. Ce fut nouveau pour moi.
Ma première expérience ? Comment vous l’expliquer sans vous choquer ? Sans être jugée… Et si je vous disais que c’est une histoire de famille ?
J’avais vingt et un ans. J’avais les hormones en ébullition, mais une angoisse terrible à l’idée de me retrouver avec un garçon. Je ne me trouvais toujours pas belle.
Nous étions en vacances chez mes grands-parents. C’était une grande réunion de famille estivale pour fêter les quatre-vingts ans de mon grand-père. Tout le monde était présent. Cousins, cousines, oncles, tantes… Vu le nombre, lors du repas, les jeunes étaient d’un côté et les « ...
... adultes » de l’autre. Nous rigolions, deux de mes cousins faisaient les pitres. La chaleur du jour était tombée et il commençait à faire meilleur avec l’arrivée de la brise du soir.
Ma mère, c’est un peu mon opposé : exubérante, sûre d’elle, toujours très sexy. Ayant une poitrine de taille très modeste, elle ne porte que rarement un soutif. Moi, je ne me vois pas sortir sans cet accessoire. Pourtant, cette soirée-là, je traînais depuis deux jours, un énorme coup de soleil sur les épaules. L’idée même d’avoir une bretelle qui frotterait dessus m’était insupportable. Ma mère venait de me mettre de la Biafine et me suggérait de me décoincer un peu en profitant des vacances pour enfiler un simple débardeur tout en abandonnant temporairement mon cher soutien-gorge. J’avais préféré choisir un tee-shirt plus fermé. Je voulais garantir à mon torse une protection efficace contre les regards obliques.
Lorsque je suis sortie de ma chambre pour aider aux préparatifs du repas, j’étais mal à l’aise. J’avais l’impression que tout le monde m’observait. Que chacun savait que mes seins étaient sans protection sous mon haut. Mais je me rendis vite compte que personne ne faisait attention à moi. Je restais clairement la fille anonyme. Lorsque mes inquiétudes furent dissipées, je me surpris à apprécier ces nouvelles sensations. Le léger mouvement de mes seins qui ondulaient discrètement au gré de mes pas. Ils semblaient profiter de leur liberté nouvelle pour se frotter contre le tissu du ...