1. Une histoire de famille - Partie 1


    Datte: 10/09/2022, Catégories: f, hplusag, jeunes, oncletante, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation initiatiq, Auteur: Vixera, Source: Revebebe

    ... oncle !
    
    Un seul mot :
    
    Je ne comprends pas, je le regarde. Je lui envoie un simple point d’interrogation. Il le reçoit. Je le vois, il a repris son téléphone. Il me répond, ses pouces tapotent le clavier.
    
    Je lis et relis. Mon cœur tente de parler à mon cerveau qui lui dit de se calmer. Je regarde autour de moi. Mes cousines comparent leur page Facebook. Il fait nuit. La lumière douce provient juste du léger éclairage des vieux lampadaires du jardin. Mon pied gauche s’écarte de mon pied droit… encore un peu… je sens le tissu de la jupe qui glisse à nouveau sur mes jambes, je sens l’air frais qui s’engouffre entre mes cuisses.
    
    Il tourne la tête. Il me sourit. Je lui réponds le cœur battant. Je suis une fille, c’est un homme. Il m’a demandé de lui montrer mes cuisses et je le fais. Je brise un interdit. Nouveau SMS. Je prends mon téléphone fébrilement, je lis :
    
    Je le regarde. Il confirme son message par un hochement de tête. Je suis immobile. Et puis… tout doucement… sans bouger mes pieds… je laisse mes genoux chuter légèrement par gravité de chaque côté. En clair, j’écarte pour la première fois mes cuisses pour un homme… et c’est bon ! Je regarde autour de moi. Mes cousines me tournent le dos pour avoir plus de lumière, un peu plus loin, un cousin cuve, vautré dans le gazon, les yeux fermés. Les autres sont partis, fumer en cachette sûrement. Alors je reste les cuisses ouvertes et je soutiens son regard. Il prend son téléphone. Il écrit à nouveau… pourvu que ce ...
    ... soit à moi ! Le SMS tombe.
    
    On m’avait dit que mon oncle donnait des cours de yoga. Est-ce une initiation à cette pratique ? Je m’en fous. Je veux lui obéir. Je me cale sur mes coudes. Pour m’ouvrir davantage, je dois bouger les pieds : comme des soldats en combat dans un milieu hostile, ils font un pas de chaque côté, lentement, silencieusement, prenant toutes les précautions pour ne pas être démasqués. La phase un étant terminée, j’entame la phase deux, la plus délicate, la plus sensible : m’ouvrir encore. Alors j’incline doucement mes cuisses et les guide vers le sol. Elles y sont presque. En suspension à 20 cm de chaque côté. Je deviens indécente. De plus, cette position se répercute sur l’élasticité des fibres de ma culotte. Cet écartement volontaire m’écrase légèrement la vulve. Ma respiration s’accélère, je vois mon ventre monter et descendre. Il me regarde. J’aperçois un geste discret de sa main… j’essaye de l’interpréter… lentement ? doucement ? Je me rappelle alors son message : se concentrer sur ses sensations.
    
    Je bascule la tête en arrière. Dégage ma gorge juvénile. Je contemple les étoiles d’un ciel d’été. Je ferme les yeux. Je perçois à présent les conversations des uns et des autres. Je continue de discerner mon ventre qui se meut de haut en bas. Je sens mes seins profiter de leur liberté pour se développer au rythme de mon souffle, je sens le sang qui circule en moi, dans mes pieds, dans mes mollets, dans mes cuisses… Ah, ce sang chaud ! Il circule dans mes ...
«1234...»