Belle-sœur de l'Empereur - 3
Datte: 10/09/2022,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
alliance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
confession,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... plaisir.
Abandonnant ma touffe, et plongeant ses doigts dans ma vulve ouverte et ruisselante tandis que son pouce taquine mon clitoris en feu, Ludi est la première à jouir dans un concert de petits geignements tandis que je m’active toujours sur elle, bientôt gagnée à mon tout par une grande et délicieuse vague qui monte irrésistiblement en moi.
Nous jouissons de concert, nos voix et nos corps mélangés…
Comme elle ne voulait pas être en reste, la blonde écarta solidement les fesses dodues qui étaient sous son nez et ordonna :
— Nous nous affalons dans le lit afin de goûter un repos bien mérité. Les plaisirs féminins ont aussi leurs charmes… Et ce n’est pas mon amante qui me contredira !
Voici maintenant un peu plus de cinquante ans que Karl m’a quittée. Il est parti dans sa pleine gloire, tandis que notre amour et notre passion étaient au maximum. Je n’ai pas connu avec lui cette lente dégringolade des sens, ce brasier brûlant qui devient flamme de chandelle. J’en ai eu une petite idée avec mon ex-amant Randolph qui est devenu un ami cher jusqu’à sa disparition, il y a maintenant quatre ans.
Pour information, je ne me suis jamais remariée. Officiellement, je vis dans le doux souvenir de Karl. Officieusement, je n’ai pas trouvé d’homme adéquat capable de m’accepter comme je suis. Il vaut mieux être seule que mal accompagnée. Le seul qui aurait pu avoir sa chance était Randolph, mais il était déjà marié. Car dans notre milieu, le divorce n’existe pas, et je ...
... n’ai pas appétence pour les solutions très radicales comme les malencontreux accidents.
Mes enfants sont tous bien mariés et heureux, je me suis occupée sérieusement de leur éducation, en leur enseignant parfois ce qu’une mère ne dit pas toujours. Ma petite dernière est d’ailleurs très émancipée, mais comme ça ne semble pas déplaire à son débonnaire époux, tant mieux.
En parlant d’enfant, notre actuel Empereur me doit beaucoup. Il ne sait pas à quel point il me doit son existence. Bien que, parfois, je me pose la question s’il n’est pas dans la confidence. Peut-être que Lugdiwina, sa mère, le lui a confessé sur son lit de mort. Hélas, elle aussi est partie, il y a désormais presque dix ans, elle a attendu quinze ans avant de rejoindre son mari là-haut.
En parlant de lui, Ludwig n’a jamais su se débarrasser complètement de sa chape de plomb qui revenait telles les hirondelles au printemps, mais il a fait de beaux efforts. Il est vrai que je l’aidais beaucoup dans cette voie en acceptant ses petits caprices sexuels. Car pour ça, il était de moins en moins coincé ! Je dirais même qu’il était à sa façon plus pervers que son frère, avec un jour de pénitence pour une semaine de débauche !
Au soir de ma vie, je ne me plains pas : j’ai connu bien des hommes, tout en étant sélective (pas question de livrer mon corps à n’importe qui), et j’ai aussi connu bien des femmes, certaines étant de sacrées dévergondées ! J’ai toujours adoré le mélange des corps à partir du moment où ...