Belle-sœur de l'Empereur - 3 - Histoires de Sexe

Belle-sœur de l'Empereur - 3

... des inscriptions relatives à un chalet… Et c’était indubitablement l’écriture de Karl. Sauriez-vous quelque chose à ce propos ?
— Je pense savoir, mais souhaitez-vous vraiment le savoir ?
— Votre nom est aussi dessus, Randolph, votre nom et aussi d’autres patronymes… Je suppose que c’était un peu plus qu’un trio ou qu’un quatuor, je me trompe ? Dites-moi tout !

Caressant mes fesses dénudées, il soupire :

— Oui, Karl avait prévu de concrétiser son fantasme du chalet.
— C’est-à-dire ?
— Dans un chalet isolé, vous et plusieurs hommes sur plusieurs jours…
— Plusieurs hommes sur plusieurs jours ?

Jouant toujours avec mon postérieur rien que pour lui, Randolph confirme :

— Exactement ! Une avalanche de sensation ! Vous, la seule femme jetée en pâture à des hommes en rut, rassasiée de sperme durant des jours et des nuits !
— Hé bé !
— Regrettez-vous de le savoir ?

Battant des jambes, j’avoue franchement :

— Je regrette que ça ne soit plus d’actualité.
— Il est toujours loisible de faire en sorte que ça se fasse.
— Mais ce ne sera plus une surprise…
— C’est vrai. Karl avait dans l’idée de vous attirer dans ce chalet pour faire une petite retraite à deux, vous et lui. C’est seulement sur place que vous auriez découvert qu’il avait d’autres projets pour vous.
— Je reconnais bien là mon gros pervers de Karl !

Randolph ne répond rien, il est trop occupé à embrasser mes fesses dodues… Plusieurs hommes sur plusieurs jours et nuits ? Décidément, Karl était ...

... bien parti pour m’emmener loin, très loin dans les turpitudes et les débauches !

Tandis que je suis en tête à tête avec l’Impératrice dans une petite salle assez isolée, sans personne aux alentours, j’écarquille grands les yeux :

— Vous… vous pouvez répéter, Lugdiwina ?
— Euh… oui… mon mari souhaite que vous soyez là quand lui et moi, nous… enfin, vous voyez quoi…
— Que je sois présente lors de vos débats !?
— Euh, oui… il pense que… comment dire…

Je la coupe, formulant la chose à ma façon :

— Votre mari ayant toujours été en représentation, lui faudrait-il un public ?
— Il souhaite être conseillé, m’a-t-il dit… Peut-être souhaite-t-il aussi un public… je… je ne sais pas… ça me déconcerte !
— Mais pourquoi il ne l’a pas fait avant ? Ça va faire dix ans que vous êtes mariés ! Non, onze !
— Vous avez été le déclic, Wilhelmine. Je ne vois que cette explication.

Fugacement, j’imagine la tête de ces trop sérieux historiens s’ils viennent à savoir pourquoi et comment notre Empereur a pu perpétuer la lignée ! Néanmoins, certains rois et empereurs ont dû faire pire. Je crois me souvenir que les Romains avaient eu des dirigeants parfois très spéciaux. Et on raconte des choses étranges ou répugnantes qui surviennent parfois dans les contrées slaves.

Se tordant les mains, Lugdiwina continue :

— Et puis, il a très bien compris que c’était vous qui me conseilliez… Et il m’a avoué qu’il en était de même de vous à lui… Est-ce vrai ?
— Euh… oui, je lui ai expliqué ...