La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1529)
Datte: 04/09/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... préoccupaient guère de mes agitations, au contraire même, l’intensité du massage augmentait à tel point que je ne pouvais plus lutter, j’allais me pisser dessus. N’était-ce pas ce qu’ils voulaient, pour m’humilier une fois encore ? Le Maitre, une main sous ma nuque me soulevait la tête en me disant :
- Regarde, regarde ta nouille, regarde tes souillures qui s’évacuent.
J’éjaculais sans connaitre l’orgasme, pas le moindre plaisir, aucun spasme… rien ! Mon sperme sortait de mon méat écarté par cette sonde urétrale creuse, et coulait doucement sans à coup, sans force ni jet dans cette coupelle. Peu après, j’étais enfin libéré de toute contrainte… la consultation était terminée...
- Je lui prescris un examen sanguin approfondi avec contrôle des MST (maladie sexuellement transmissible), une CBU, je lui fais une ordonnance pour le traitement PrEP, avec ça tu es tranquille mon cher Edouard… il est en pleine forme ton clébard ! Je veux le revoir dans trois mois pour le suivi…
- Parfait, Maxime, combien je te dois pour la consultation ?
- Eh bien comme d’habitude ! Tu paies en nature !
Sitôt dit, sitôt fait quand le médecin complétait son propos en défaisant sa ceinture, et je compris alors que payer en nature voulait dire que c’était moi la nature ! Le Maître claqua des doigts et ...
... m’ordonna de me pencher en avant le ventre bien à plat sur le bureau du docteur, le cul bien exposé. Je sentais tout d’un coup le sexe dur et déjà en érection du docteur se présenter et se frotter sur ma raie anale, puis venir s’appuyer contre ma rondelle. Il enleva le spéculum et enfonça d’un coup violent sa grosse verge dans mon trou béant, largement dilaté par le spéculum et en me maintenant fermement par les hanches… Il me baisait pas, il me besognait déjà à grands coups de reins puissants telle une bête sauvage en rut. Je n’étais plus qu’un trou ouvert, je servais juste pour que le soignant se vide les couilles le plus vite possible. Durant cette saillie animale, il ne se préoccupait pas de moi, il me défonçait, et ce n’était pas un vain mot, mais une réalité folle ! Je n’avais que très rarement été sodomisé de la sorte, si brutalement, si bestialement. Jusqu’au moment où il lâcha son sperme au plus profond de mes entrailles dans des derniers coups de boutoirs d’une puissance inouïe… Il resta un moment planté en moi, immobile en coït profond, je sentais sa semence chaude s’écouler dans mes entrailles alors que ses ongles plantés dans la chair de mes hanches avant de se retirer et il dit juste ceci :
- Voilà un cul bien défoncé qui vaut le meilleur de mes honoraires…
(A suivre…)