La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1529)
Datte: 04/09/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... érection me trahissant visiblement !
- Regarde-moi cette lope, Edouard, il bande déjà ! Tu lui retires sa cage et voilà sa nouille toute raide dès qu’on le touche un peu ! Tous les mêmes ces chiens en rut !, dit le médecin en levant les yeux au plafond
Le médecin forçait ensuite ma rondelle et me l’écartait avec un spéculum. Peu après, je le voyais prendre une sonde urétrale en acier. Je blêmissais. Très vite encore, je me retrouvais avec un écarteur de bouche entre les dents, le médecin y glissait à l’intérieur un bâillon en forme de plug qu’il gonflait pour qu’il ne puisse s’échapper, puis me branlait doucement ma queue fortement durcie. Contre cette masturbation forcée, je ne pouvais pas lutter, car avec ma nouille déjà dressée, le soignant trouvait un pervers plaisir à me branler. Il déposait du gel lubrifiant sur mon méat et enfonçait la sonde dans mon sexe, d’un geste adroit et précis. Je ne parvenais pas à maitriser des tremblements, je sentais des gouttes de sueur perler sur mon front, j’étais à deux doigts de m’évanouir. La peur plus une sensation de brûlure me faisait perdre la raison. Je sursautais et râlais à chaque va-et-vient de cette sonde dans mon conduit… Le médecin prenait un malin plaisir à ramoner ma bite, il enfonçait l’objet un peu plus à chaque aller-retour, jusqu’à ce que celui-ci soit quasiment et entièrement introduit. Là, il bloquait la sonde avec un anneau étroit en caoutchouc, posé à la base de mon gland. Le médecin se plaçait pour se mettre ...
... entre mes cuisses grandes ouvertes et donnait deux quarts de tour de clé du spéculum pour ouvrir plus encore mon cul. Je geignais.
- Il aime ça ce chien, il aime se faire ouvrir le cul !, disait le Maître qui approuvait le traitement que je subissais.
Je ne pouvais pas démentir, je ne pouvais pas parler. Mon corps s’habituait à cette sonde, d’ailleurs dès qu’une main caressait ou frôlait ma nouille, celle-ci devenait hypersensible, une sensation étrange, comme si je me mettais à pisser. Je sursautais encore, lorsque j’entendais le ronronnement d’une machine. Qu’allait-on me faire subir encore ?
- Ne t’inquiète pas petite chienne, juste un petit coup de vibro pour extraire ton jus de lope soumise.
Par réflexe, au contact de ce fin et long vibromasseur passé sur mes chairs intimes, mon anus cherchait à se contracter. Il se heurtait aux parois métalliques du spéculum ! Ma vessie, mon rectum, tout mon corps subissaient l’assaut de cette machine infernale, qui venait titiller ma prostate. Je me sentais vibrer de l’intérieur, ce n’était pas douloureux, plutôt agréable même, juste une sensation étrange qui réactivait mon envie de pisser. Le Maitre s’occupait de ma nouille tendue, pétrissait mes couilles, tenait entre ma bite érigée et mon abdomen, une petite coupelle en verre, alors que le médecin continuait à comprimer et caresser ma glande intime. Je me débattais dans mes liens, remuais la tête de tout côté, cherchais à exprimer mon besoin pressant d’uriner. Eux ne se ...