1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1529)


    Datte: 04/09/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1528) -
    
    Chapitre 7 bis suite : La consultation -
    
    On exigea de suite de me dévêtir… Je ne parvenais pas à contenir mes tremblements. J’étais maintenant nu, mains dans le dos, tête basse, devant le bureau du médecin. Contrairement à ce que j’avais pu craindre, ma nudité n’était plus un problème avec ce qui s’était passé préalablement, mais j’avais peur, très peur de me retrouver avec des piercings de partout sur le sexe...
    
    - Tu vois Maxime, j’ai ramassé ce bâtard il y a peu, dans un bar, près de chez moi. Je veux en faire une bonne salope, une grosse chienne docile et servile donnant son cul à qui veut le prendre. Il a de bonnes prédispositions et j’en connais la raison. Lui aussi crois le savoir. Mais tu me connais Maxime, je ne fais jamais prendre de risques à tous ceux que Je domine. Alors je veux que tu l’examines, je veux le savoir en bonne santé, je veux aussi que tu le mettes sous PrEP. (NDLA La PrEP : Prophylaxie Pré-Exposition ou Pre-Exposure Prohylaxis en anglais, est une stratégie de prévention du VIH. Elle consiste à prendre un médicament antirétroviral de manière continue ou discontinue pour éviter d'être contaminé-e par le VIH. Elle s’adresse aux personnes qui ne sont pas infectées par le VIH, qui n’utilisent pas systématiquement le préservatif lors de leurs rapports sexuels et qui sont à haut risque de contracter le VIH. Il s'agit, en ...
    ... particulier, des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HsH) ou des personnes ayant des partenaires multiples hommes ou femmes). Le médecin acquiesçait, j’étais soulagé, devais-je l’être ?
    
    - Je vais examiner cette salope, peux-tu Edouard lui ôter sa cage ?
    
    Nu comme un ver, j’étais pris par un bras et étais installé sur la table de consultation, celle-ci ne présagerait rien d’une consultation classique, puisque j’étais maintenant couché à plat, dos sur cette table plate, les fesses au ras de celle-ci les pieds callés et sanglés dans des étriers. Le médecin me fixait une lanière épaisse sur mon abdomen, une autre au niveau de ma poitrine, enfin il me relevait les bras derrière la tête pour les attacher à des courroies. Vulnérable, chancelant et totalement accessible, je me laissais ausculter. Que faire ? Que dire ? Bien que tenu sévèrement contraint par ces liens, je trébuchais et tombais dans les abimes de la déliquescence. Pourtant, aussi paradoxalement que cela puisse paraître, mon corps nu s’électrisait et s’enfiévrait. Le seul contact du stéthoscope sur ma poitrine ou sur mon ventre créait une forme d’enivrement inattendu. Lorsque le docteur me palpait les dessous de bras, le cou, l’abdomen ou le bas ventre, je ressentais plus encore cette fièvre se répandre en moi. Lorsque ses mains tâtaient ma bite, mes testicules et mon trou, je m’enflammais littéralement. Tout allait très vite, trop vite… car je me mis à bander grave et malgré moi. C’était même une méga ...
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