1. Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe (10)


    Datte: 02/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: caribonex, Source: Xstory

    ... palpite et se tend sous elle. Je lui souffle à nouveau dessus puis plus régulièrement les claque sous sept, huit, neuf. Un léger effleurement et Dix.
    
    Les fesses sont rouges, ses yeux brillants et un peu larmoyants quand elle se remet debout devant moi, mais c’est une grimace de plaisir qui la défigure ; enfin l’embellit surtout.
    
    Je pince à nouveau ses seins et son corps s’avance vers moi, son bassin bouge sans qu’elle ne puisse se contrôler.
    
    — Tu veux jouir, c’est ça.
    
    — Oui, oui.
    
    — Tu veux être baisée, c’est ça.
    
    — Oh, oui, baisez-moi, baisez-moi.
    
    — Et comment on demande ?
    
    — Baisez-moi, maître, je ferais tout ce que vous voulez, donnez-moi votre grosse queue, bourrez-moi, défoncez-moi.
    
    — Mais c’est qu’elle a vraiment envie, tu es quoi alors.
    
    — Votre jouet, votre salope, faites-moi tout ce que vous voulez.
    
    C’est comme si une digue se rompait, comme si les années sans ses jeux la rattrapaient.
    
    — Zoé, tu pensais qu’on peut lui donner satisfaction ?
    
    — mm, pour un début c’est pas mal.
    
    Je me dis que c’est surtout parce que ma chérie est au bord de l’explosion elle-même qu’elle donne son feu vert.
    
    — Allez pour un début, je vais être bon prince. Va te mettre à quatre pattes.
    
    Sophie se place rapidement à quatre pattes sur le lit et je rajoute.
    
    — Écarte bien ton cul, montre-nous tout, espèce de cochonne.
    
    Elle s’écarte les fesses des deux mains et je vois parfaitement l’anneau brun-rose et surtout les lèvres gonflées de sa chatte ...
    ... qui dégouline. Ce rose forme un peu un contraste avec ses fesses rouges et ça me fout une trique pas possible.
    
    Je me place derrière elle, effleure du bout du gland son con prêt à m’aspirer dans sa fournaise et lui dis :
    
    — Je ne te demande pas si tu es d’accord, je vais te défoncer la chatte, je vais penser qu’a moi, tant pis pour toi si tu ne jouis pas et interdiction de te branler.
    
    Un gémissement s’élève et elle met ses mains devant elle, son petit postérieur tendu vers moi.
    
    Je la pénètre d’un coup tant elle est inondée, j’empoigne ses hanches et y vais de bon cœur, comme un soudard en rut. J’ai dit vrai, pour une fois je ne pense qu’à moi, je ne peux faire semblant et ralentir, elle le sentirait.
    
    Alors je donne de grands coups de bassin, la pilonnant avec joie, ma queue est prise dans un véritable étau humide, sa position resserre mon sexe et c’est vraiment bon.
    
    Je tourne légèrement la tête et vois Zoé qui, les yeux fous, regarde le spectacle et s’est mis deux doigts dans le con en se masturbant à toute vitesse, plus de finasserie, juste du sexe brut. Quand nos yeux se croisent, elle part dans un grand cri de jouissance.
    
    J’accélère encore le rythme et je sens le foutre bouillonner en moi qui monte, monte, Sophie crie, hurle, geint, gémit, délire, jouit tout simplement.
    
    Et je crie enfin mon plaisir moi aussi.
    
    Le gland rendu sensible, l’impression d’être totalement vidé, je me retire et dis à une Zoé éperdue de plaisir.
    
    — Allez va chercher mon ...