1. Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe (10)


    Datte: 02/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: caribonex, Source: Xstory

    ... pense que je n’arrivais pas à lui donner totalement ce qu’elle aimerait. En fait, je n’ai pas un tempérament très dominateur, même si je ne suis pas autant soumise qu’elle.
    
    — J’avais remarqué tout cela, petit hérisson.
    
    — J’ai envie que tu lui procures tout cela, ça te va ?
    
    Ah sa mimique un peu gênée, sur le qui-vive. Bien sûr, nous sommes maintenant ensemble depuis quelques semaines, mais ce ne doit pas être évident de demander à son mec d’y aller plus fort avec sa tante. Oh, ces mots, la perversité de ces mots. Déjà, il y a deux heures quand elle criait « baise ma tante, baise la fort... »
    
    — Donc tu veux que j’y aille plus fort avec elle, que je la domine.
    
    — Juste comme il faut, je le lui dois, c’est un juste retour des choses.
    
    — Et surtout tu mouilles en me demandant de bien baiser ta tante, c’est ça.
    
    — Je ne peux rien te cacher.
    
    — Tiens puisque tu en es là, tu me donnes un peu de mouille, j’ai soif.
    
    Elle plonge son majeur dans son entrecuisse et me tend un doigt luisant que je m’empresse de sucer en la regardant dans les yeux, scellant notre amour, notre complicité, notre accord tacite.
    
    — Bon allez, on se détend un peu, avec vous deux, la nuit risque d’être longue.
    
    — Tu as raison, une petite sieste nous fera du bien.
    
    On plonge donc ensemble dans les bras de Morphée.
    
    Pour se réveiller frais et dispos. On rejoint sa tante dans la cuisine et on déjeune tranquillement tous les trois, enfin en essayant d’être tranquille, car voir les deux ...
    ... déambuler nues et discuter de cinéma alors que j’ai leur buste devant le nez, ce n’est pas vraiment bon comme tranquillisant !
    
    Une fois le repas terminé, la cuisine rangée : bon sang que c’est excitant de les voir bouger, ranger (surtout dans le bas du frigo), tapoter mon sexe à demi érigé en passant, comme ça, histoire de ne pas perdre la main quoi.
    
    — Et si on allait chez moi, lance Sophie comme si c’était une invitation anodine, comme si nous n’avions pas une idée de comment cela risque de tourner. Sur les quelques mètres qui conduisent dans la pièce ; Zoé me glisse : - fais-la jouir comme je l’attends, j’ai envie de vous mater,
    
    sacrée responsabilité qui est la mienne surtout que je n’ai quasiment aucune expérience à part celle de l’obsédé moyen.
    
    Une fois dans la pièce, Sophie se tourne vers moi dans l’intention de venir m’embrasser, mais stoppe son geste en voyant sa nièce s’asseoir au bout du lit. Elle s’apprête à lui demander ce qui se passe en venant vers elle quand je dis fermement :
    
    — Stop !
    
    — Comment ça stop, j’ai envie de...
    
    — Tes envies m’indiffèrent, ce sont les miennes qui comptent, tu ne bouges pas, tu restes debout.
    
    — Mais ?
    
    — Suffit, c’est la dernière fois que je le dis, tu ne bouges pas, bras le long du corps.
    
    Sophie a un dernier regard vers Zoé et je la reprends.
    
    — Zoé ne t’aidera pas, elle est juste là pour mater et se branler ; enfin si je l’autorise, maintenant chut ou il va t’en cuire.
    
    Enfin, Sophie, une lueur dans les ...
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