Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe (10)
Datte: 02/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: caribonex, Source: Xstory
... yeux reste immobile bien droite, les bras bien le long du corps au milieu de la chambre.
Je tourne autour d’elle, extérieurement impassible, intérieurement admiratif devant son joli corps mince qui contraste tant avec celui de Zoé.
Je passe le doigt de sa nuque à ses fesses, le long de sa colonne vertébrale et cela la fait déjà frissonner. C’est de bon augure, tout comme la petite veine qui bat dans son cou.
Je continue avec mon index à souligner les courbes de son corps sans toucher là où c’est tendu et brûlant. Je passe sur le haut de sa petite toison sans toucher à sa fourrure, je trace un cercle autour de ses seins, effleure le galbe de ses cuisses et de ses mollets, remonte sur ses fesses, la ligne de ses épaules puis caresse ses cheveux, ses joues, passe lentement, très lentement sur ses lèvres frémissantes avant de stopper et, profitant de sa bouche entrouverte, de lui enfoncer un doigt dans la bouche.
Ses yeux brillent de plaisir et elle suce mon doigt, creuse les joues comme si elle voulait me l’aspirer. Je lève l’index de l’autre main, elle stoppe et je rajoute un doigt ...
Une minute plus tard, elle a quatre doigts dans sa bouche grande ouverte et suce et bave sur mes doigts. A sa réaction, je vois qu’elle apprécie et Zoé qui est venue regarder de plus près a les pointes de seins presque aussi tendues que les grosses framboises de Sophie.
Cette coquine en rajoute en disant :
— Je peux me masturber maître ?
— Viens lécher mes doigts.
Elle ...
... se précipite, aspire les quatre doigts que j’ai sortis de la bouche de sa tante et au bout de quelques secondes, je lui dis : - C’est bien, maintenant tu peux te branler.
— Merci maître.
Je remets les doigts dans la bouche de Sophie, qui comme sa nièce est tout heureuse de goûter à la salive de sa complice.
Je fais quelques allées et venues en enfonçant mes doigts, faisant saliver Sophie qui ne dit rien et émet des bruits obscènes et excitants.
Je stoppe d’un coup, notant qu’elle retient à grand-peine un soupir de dépit puis d’un même geste, saisir ses mamelons gonflés avec mes doigts et tire fort vers moi. J’ai tiré plus fort que la dernière fois, mais pas à les arracher, voulant tester ma soumise.
Je pince et fais rouler ses gros bouts et elle gémit rapidement de plaisir.
— Je t’avais dit de te taire.
— Pardon maître, pardon.
— Suffit ! Viens là.
Je vais m’asseoir et la fais se mettre couchée en travers de mes cuisses, les fesses juste à la bonne hauteur.
— Dix et sans un mot.
J’effleure ses fesses musclées et quand elle se détend, je lui donne une bonne claque dessus.
— Un !
La caresse à nouveau délicatement puis :
— Deux ! Trois !
Je laisse planer un peu, juste qu’elle ne sache plus, observant Zoé qui se caresse furieusement, d’une main, et se pelote les seins de l’autre.
Un peu de délicatesse avec un rapide baiser-souffle puis d’une traite – Quatre, cinq, six
Ses fesses commencent à prendre une jolie teinte et ma queue ...