1. ... l'heure approche...


    Datte: 02/09/2022, Catégories: fh, hotel, odeurs, Oral préservati, pénétratio, hdanus, piercing, confession, rencontre, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... retenue, mais comme un partage, une offrande.
    
    La beauté est subjective, variant selon les individus. Je sais que je parais bien pâle, sinon transparent à certains, tout comme elle doit être bien loin de l’idéal féminin de beaucoup. Et tant mieux !… et qu’importe ! Que personne m’ait remarqué avant elle ne m’avait jamais frustré ! L’important, pour moi, n’a jamais été d’être aimé de tous. Je n’ai jamais cherché à rallier quiconque à ma cause. Et pas changé pour autant. Pourtant, depuis peu, une femme m’avait hameçonnée, pris dans son filet. J’étais lié à elle, dépendant même, et, étrangement, je me sentais plus libre que jamais. Singulier sentiment, aussi nouveau que plaisant, puissant que surprenant.
    
    — Et ma chatte. Elle te plaît ma chatte ?
    
    Tout me plaît chez toi aurais-je dû répondre. Mais aucun son ne sortit. Elle esquissa juste un radieux sourire, ma bouche, tandis que la sienne dévoilait un interstice dans lequel je me perdis. Pour autant tout était dit, et entendu, entendu par chacun.
    
    — Et si tu finissais c’que t’as commencé, vilain garnement à la bite toute douce ?
    
    Ce fut déjà un plaisir de la voir basculer en arrière, un rêve éveillé de la contempler s’esquambiller, mais la sentir fut un délice sans pareil. Plus que la vue, le toucher, ou le goût, perceptions secondaires, je m’imprégnais d’elle, en primitif, du sens le plus développé chez moi. D’un nez excité plongé entre ses cuisses invitantes, je reniflai plus que respirer, sans plus vergogne ou ...
    ... retenue, tel un animal en rut. Elle patienta, ressentant mon souffle, que j’en sois repu de ce sexe offert, ouvert, odoriférant. J’ignore si elle en tira un quelconque plaisir, physique, ou autre, mais elle ne manifesta aucun signe d’impatience. Ce ne fut que lorsque mes lèvres la touchèrent qu’elle posa les jambes sur mes épaules. À genoux, au bord du lit, j’eus alors tout loisir de finir ce que j’avais commencé dans l’entrée de la chambre, à savoir sucer, rouler, grignoter un clito tout aussi saillant, tandis que mon doigt se perdait en elle. Avais-je la bonne technique, ou était-elle aussi à fleur de peau que je l’étais ? Toujours est-il qu’elle ne chercha pas à faire durer cette mignotise plus que nécessaire. Pour l’avoir déjà goûté, je savais à quoi m’attendre, pourtant cette jouissance fut plus… abondante. Pas sur le fait, mais après qu’elle reprenne un souffle coupé par l’orgasme.
    
    Elle toussa. Trois fois. Coup sur coup. Si le premier jet me prit au dépourvu, je réussis cependant à le chopper en vol. Les deux suivants je les reçus bouche grande ouverte à la source, contrant de toutes mes forces ses mains qui tentaient de m’en éloigner afin de me dissuader de m’abreuver de cette tiédeur au goût prononcé. Je savais, pour l’avoir déjà emporté ainsi, que je ne devais plus le taquiner ce clitoris saillant, aussi je ne fis que lui ventouser le sexe, simplement, respiration bloquée. En apnée je la gardais en bouche, tandis que ses mains n’étaient plus repoussantes mais ...
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