COLLECTION ADULTÈRE. Dans la cabine de mon tracteur (1/2)
Datte: 30/08/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... savais que je serais.
Bois Maudit pas pour tout le monde, car c’est dans le foin que je venais de former en boudins avant de passer ma lieuse le soir même que nous avions roulé.
J’avais déjà emballé des jeunes femmes à la fête du village, mais j’étais puceau lorsque sa petite culotte aperçut la veille l’a quittée, j’étais l’homme le plus fort de notre planète.
Fort pendant les quinze jours ou mon sexe est entré en elle sans qu’à aucun moment je me pose la question si elle avait une contraception.
C’est en septembre au temps des labours qu’un soir, j’ai vu une voiture s’arrêter.
Notre séparation avait été une déchirure, je lui avais promis de lui acheter une bague pour l’été suivant.
De la voiture en est descendue un couple et Louise, qui se tenait tête baissée.
- Monsieur Max, Maxim je suppose !
- Non, Maxence, mais vous pouvez m’appeler Max, comme tout le monde.
- Maître Carl et ma femme Clotilde huissier de justice à Paris.
Hormis les quelques dettes que j’avais faites pour m’installer et un léger retard sur une traite ou deux, pourquoi un huissier de justice surtout venant de Paris se trouvait devant moi ?
La réponse était dans la présence de Louise.
Si du retard, il y en avait, c’était Louise qui avait constaté que nos ébats avaient été fructueux.
J’ai éteint l’incendie qui aurait pu embraser ma ferme par une omelette que j’ai préparée avec des œufs frais venus de mon poulailler et un coffre plein de légume que nous avons ...
... cueilli dans mon potager.
En prime, j’ai assommé un beau lapin mal et je lui ai fait sa toilette comme on m’avait appris à le faire depuis mon plus jeune âge.
J’ai cru que celle que je devais appeler belle-maman aurait besoin de bouche-à-bouche.
En plus, on l’a compris, le mois suivant, pour la première fois cette année-là, je suis monté à la capitale pour épouser Louise.
Je me suis senti un peu con dans ce costume acheté pour la circonstance.
Il doit toujours être au grenier bouffé par des kyrielles de mites, car ce fut la seule fois que j’en ai mis un.
Neuf mois plus tard, elle m’apportait le bonheur de ma vie lorsqu’à la maternité de l’hôpital des hospices de Beaune, je coupais le cordon de mon fils Sylvain.
Il a été suivi de Livia et de Jeanne, nos jumelles nous permettant de fermer la porte à toutes maternités, une ferme et trois enfants suffisant à notre bonheur.
Seize ans plus tard, je suis dans mon tracteur de la dernière génération, avec GPS incorporé.
Il me permet presque de dormir à l’intérieur climatisé de sa cabine en faisant des bottes de foin rondes.
Je travaille sur la parcelle au bas de la côte de fraîche, source de mon bonheur, dont la superficie a triplé et où les haies dont celle de sureaux ont disparu.
J’ai déjà mis en bottes la moitié de la parcelle lorsque j’arrête mon tracteur entendant un grand bruit.
Rapidement je constate que c’est une salade au niveau du cardan reliant le tracteur à la lieuse qui en est la ...