1. COLLECTION ADULTÈRE. Dans la cabine de mon tracteur (1/2)


    Datte: 30/08/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Bonjour, du sexe, il y en a dans toutes les professions, qui pourrait penser que dans l’agriculture on puisse baiser à des moments et des endroits insolites.
    
    Je m’appelle Max, du moins c’est le petit nom que me donne mon épouse que j’aime plus que tout au monde.
    
    Je l’aime, car épouser un type qui travaille 14 heures par jour et jusqu’à 18 en ce moment lorsqu’il fait beau, il faut de la constance.
    
    Quand je vois la galère pour les copains, je me dis que j’ai eu de la chance.
    
    Ils disent que le bonheur est dans le pré, ce fut le cas lorsque j’ai rencontré Louise, ma cadette de deux ans et que je l’ai couchée sur la prairie alors qu’elle passait en vélo.
    
    Il était midi et un cagnard pas possible nous frappait depuis des jours.
    
    Il y a vingt ans, nos engins de travail étaient loin d’être sophistiqués, comparés à ceux que nous possédons à l’heure actuelle.
    
    Bien que ce soit cette sophistication qui ait été à l’origine ce qui m’est arrivé et que je pratique l’adultère.
    
    Il y a vingt ans, donc, lorsque le foin était à faucher, il fallait aller vite et j’emmenais ma glacière afin d’éviter de rentrer et de perdre du temps.
    
    Ce foin, comme tout le monde le sait, sert à nourrir nos vaches que j’avais en tout petit nombre lorsque je me suis installé en reprenant le fermage d’un vieil agriculteur.
    
    Je venais de m’assoir, mon mouchoir imbibé d’eau fraiche posé sur ma tête les quatre coins noués, quand je l’ai vu descendre la légère côte de la fraîche, nom loin de ...
    ... s’inventer par cette chaleur.
    
    Il y avait un léger virage avant mon arbre et mon champ.
    
    Elle m’a vu a été étonnée et a semblé paniquer.
    
    La première chose que j’ai vue de Louise, c’est sa petite culotte lorsqu’elle a quitté la route pour partir dans une haie qui par chance était faite de sureaux et non d’aubépines.
    
    Je me suis précipité et autres chances, plus de peur que de mal, juste un genou écorché avec un peu de sang.
    
    Je l’ai aidée à se relever et le courant est passé entre nous.
    
    Coup de foudre ou électricité statique lorsque nos doigts ont été proches, la petite décharge que nous avons ressentie m’a permis de la faire venir sous mon arbre pour boire un verre d’eau fraîche.
    
    Louise était en vacances chez sa grand-mère à qui elle avait emprunté ce vélo pour faire une promenade.
    
    Lorsque je parle du bonheur étant dans le pré, la plupart de ces agriculteurs cherchant l’âme sœur habitent dans des trous perdus.
    
    Ma ferme est en Saône et Loire et de remembrement en remembrement nous avons augmenté nos parcelles à travailler au détriment des haies qui ont permis notre rencontre.
    
    Après avoir bu directement à la bouteille, car ignorant cette rencontre quand j’ai préparé ma glacière, c’était le seul moyen de partager l’eau.
    
    Me regardant avec de beaux yeux bleus, Louise m’a fait cette réflexion.
    
    - Je connaitrai vos pensées en buvant derrière vous.
    
    Le « vous » nous l’avons oublié le lendemain quand elle est venue me rejoindre près du Bois Maudit où je ...
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