SDF
Datte: 29/08/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
caférestau,
douche,
Masturbation
nopéné,
rencontre,
Auteur: Pericles, Source: Revebebe
... le lit, toujours du côté gauche, et il me faut moins d’une minute pour être presque dans les bras de Morphée.
Cependant, juste avant le black-out complet, j’entends la porte de la chambre s’ouvrir. Emma est là dans sa nouvelle chemise de nuit. Elle entre et ferme la porte, puis, se couchant du côté droit, elle murmure :
— Ne m’en voulez pas, mais je n’arrive pas à dormir seule quand je suis dans une maison étrangère.
Je souris dans le noir et me tasse sur le côté gauche du lit. Je sens alors sa main sur mon épaule :
— Je ne vous dérangerai pas. Le lit est assez grand pour quatre.
La main se retire et je la sens se repositionner à l’autre bout du lit, du côté droit. Dommage, ce toucher sur mon épaule, c’était bien agréable. Je sens que je m’endors, souhaitant vaguement qu’elle me touche à nouveau.
J’émerge lentement le lendemain matin. C’est agréable de ne pas entendre un réveil. J’ai un peu plus chaud que d’habitude et, quand le brouillard s’est dissipé devant mes yeux, je réalise qu’Emma s’est positionnée en cuillère contre moi pendant la nuit. Son bras est allongé sur mon flanc et sa poitrine s’écrase contre mon dos. Je peux sentir sa respiration tranquille dans mon cou.
Elle dort profondément et j’hésite à bouger, je ne voudrais pas la réveiller. En fait, je me sens hyper bien, en paix avec le monde. Je referme les yeux pour profiter de cette sensation… et je me rendors.
Quand je me réveille à nouveau, un peu plus tard, je suis seul dans le grand ...
... lit. Je soupire et me redresse. Le réveil précédent était plus agréable. Je regarde le radio-réveil : déjà dix heures. C’est fou, je n’avais pas dormi aussi longtemps depuis très, très longtemps. Et je sens dans mon corps que cela me fait beaucoup de bien. Je me sens reposé, pas groggy comme d’habitude. J’enfile un t-shirt au-dessus de mon short et je file à la cuisine.
Sur mon chemin, je trouve Emma, assise les jambes croisées sur le canapé, en train de regarder un programme du matin sur la télé. Sa chemise de nuit est remontée jusqu’à sa taille et j’ai une vue directe sur sa culotte blanche. Comme la culotte est ainsi tendue de par la position de ses jambes, on devine sous le coton la forme de son sexe. J’essaie de ne pas regarder, mais c’est dur, cette vision éveille en moi des sensations depuis longtemps endormies.
— Bonjour, Monsieur l’endormi. Emma me sourit. Je pensais que vous alliez dormir toute la journée. Vous m’aviez dit qu’on irait chercher de la peinture et des outils chez Bricorama ce matin.
J’essaie désespérément de garder mes yeux sur son visage.
— Ouais, laissez-moi prendre un café et sauter dans la douche, et on y va.
Je trouve la force de ne pas jeter un dernier regard à sa culotte et passe derrière le comptoir de la cuisine pour insérer une capsule dans la machine à café. Par-dessus le comptoir, je peux seulement voir l’arrière de sa tête, mais mon cerveau, lui, voit toujours ses cuisses laiteuses et cette blanche culotte. La machine à café ...