Maroc
Datte: 27/08/2022,
Catégories:
fhhh,
extracon,
Inceste / Tabou
vacances,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
confession,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... ardemment mon baiser, tellement que j’empoignai simultanément une fesse et un sein. Hum, délices que ces globes généreux, doux et fermes à la fois. Elle profita d’une reprise de souffle pour me repousser de ses deux mains posées sur ma poitrine, se cambrant en arrière :
— Non, non, il ne faut pas. Si vous saviez, ce serait terrible…
— Quoi donc, interrogeai-je décontenancé ?
— Mon mari, il me tuerait.
— Mais, on ne va pas le lui dire…
— Sûrement pas, mais si on nous surprenait. Attendez, je vous explique…
Nous reprîmes une certaine distance, elle rajusta ses vêtements un peu en désordre.
— Je ne porte pas un nom très… français. Mon mari est marocain et très à cheval sur la fidélité. C’est pour ça que je pars toujours à l’heure, car si j’ai la moindre minute de retard, je passe à la question. C’est comme ça, dans ses gênes, la tradition, je lui appartiens. Au plus petit écart, je peux être répudiée ou battue. Et nous avons un fils, c’est un risque que je ne veux pas courir.
— Bien sûr, je comprends. Et je n’ai pas l’habitude de m’attaquer aux femmes mariées. Briser des couples, ce n’est pas mon truc. Mais… À force de vous voir là, tout près de moi… Vous savez que vous êtes séduisante, appétissante même pour parler trivialement. Et puis vous ne faites rien pour ne pas l’être.
— J’avoue que c’est un peu vrai. Mais une femme a beau être « casée », elle a besoin de savoir qu’elle peut plaire encore, même si ça ne va pas plus loin. C’est rassurant. On se sent… ...
... vivante.
— J’entends bien, mais, ça fait un peu allumeuse tout ça, dis-je en lui prenant la main et en la plaquant sur ma virilité dilatée.
— Oh ! Je suis navrée… Si je pouvais vous soulager…
— Ça, ça peut peut-être s’arranger.
Je passai la tête dans la pièce voisine où travaillait le reste de l’équipe et criait à la cantonade :
— On va essayer de passer le logiciel sur le réseau. Si vous voulez être payés, qu’on ne nous dérange pas.
Je fermai la porte au verrou, et revins à mon fauteuil. Marylou s’agenouilla sur la moquette, défit ma braguette, et empoigna ma queue encore bien dilatée. Elle branlait, suçait, léchait avec talent et application, ses yeux levés vers moi pour lire le plaisir sur mon visage. Je lui mis la main sous la nuque, elle pensait que c’était pour m’enfoncer plus profondément dans sa gorge et devança mon geste jusqu’à sa glotte. Mais non, c’était pour la relever :
— Tournez-vous et appuyez-vous sur mon bureau.
— Non, oh non, surtout pas ça…
— Pourquoi, au point où nous en sommes…
— Parce qu’il me contrôle quand j’arrive.
— Quoi ?
— Oui, il me passe un doigt dans chaque trou, et si par malheur c’est un peu trop mouillé, j’ai droit à un examen approfondi.
— Ça alors ! Et vous acceptez ça ?
— Bien obligée. Et puis j’avoue que… Je ne déteste pas d’être ainsi soumise au pouvoir d’un homme.
— Faudra que vous m’expliquiez
Elle reprit sa fellation et son talent me fit rapidement effet. J’éjaculai dans sa gorge avec volupté, elle ne perdit pas ...