Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (15) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (15)

... sœurs pourtant. Ta mère est au courant ?

— Quoi ? Comment tu sais ça ?!

— Lili est très bavarde.

— Elle avait dit qu’elle ne dirait rien à personne !

— Relax ! Ton secret est bien gardé avec moi !

— Y a intérêt.

— Tu sais, je ne suis peut-être pas très expérimentée encore au lit, mais j’apprends vite. Bientôt, Lili ne te manquera même plus.

— Tu es bien prétentieuse.

— On verra ce que tu diras dans quelques jours. On a qu’à faire un pari en trois manches.

— En trois manches ?

— Oui ! On baise trois fois aujourd’hui et, à chaque fois, le premier à faire jouir l’autre gagne un point. Celui ou celle qui a le plus de points à la fin de la journée gagne le pari.

— Tu veux parier quoi ? De l’argent ? Demandai-je.

— Mais non ! Pas de l’argent ! Celui ou celle qui perd doit accepter de se faire sodomiser par l’autre.

— C’est radical !

— C’est pour ça que ça va être marrant ! De toute façon, tu es sûr de gagner non ?

— Aucun doute ! Je me suis taper cinq filles expérimentées que toi pendant plus d’un mois. Je suis imbattable.

— Très bien, Casanova. Que les jeux commencent !

Sans prévenir, Yana déboucla la ceinture de mon pantalon.

— Qu’est-ce que tu fous ? Pas ici ! N’importe qui peut nous voir !

— C’est ça qui est le plus excitant !

— Je peux voir ta mère à la fenêtre qui lit un livre ! Elle n’a qu’à tourner la tête pour nous voir !

— Ah merde ! Viens !

Elle m’entraîna un peu plus loin dans le jardin derrière un ...

... petit muret de pierres qui nous cachait quasi-complètement des regards indiscrets. Elle me fit asseoir sur une chaise rembourrée et descendit mon pantalon. Elle retira mon boxer et vit que je ne bandais pas encore.

— Je te fais pas d’effets ?

— Je suis habitué à me faire chauffer par des filles maintenant. Je te l’ai dit, tu n’as aucune chance.

— C’est ce qu’on verra.

Elle retira ses habits, révélant un corps parfaitement sculpté et des seins ni trop gros, ni trop petits.

— Et là ? Je t’excite ? Demanda-t-elle.

— Il va falloir donner plus d’enthousiasme pour réussir à me faire tourner la tête.

— C’est toi qui est prétentieux là !

Elle s’assit sur mes jambes et m’embrassa à pleine bouche tout en frottant ses lèvres contre mon pénis. Elle était forte la salope ! En quelques secondes seulement, ma bite se dressa.

— Qu’est-ce que je te disais !

— Rira bien qui rira le dernier.

— Exactement.

Elle enfourcha mon pénis sans prendre le temps de le lubrifier. Mon gland traversa ses lèvres aisément et glissa tout au fond du vagin de la rousse qui ne put retenir un petit cri.

— Alors ? Dis-je. Tu es toujours sûre de pouvoir me faire jouir avant toi ?

Yana reprit son souffle avant de lâcher :

— Ça va aller. Ça fait juste un bail qu’une vraie bite ne m’a pas pénétrée.

Elle commença un va-et-vient régulier au-dessus de moi et tentait de prendre de l’assurance. Mais, je voyais bien qu’elle peinait à retenir ses cris. Elle paraissait bien moins ...