Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (15) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (15)

... bien qu’au premier jour. C’est comme si ma chatte refusait de s’élargir pour la laisser passer.

— Allez, ferme-la et profite un peu plus.

— À vos ordres, capitaine ! S’exclama-t-elle.

Elle referma sa bouche et posa les mains sur ma poitrine afin de prendre appui. Je reposai ma tête sur mon oreiller et fermai les yeux. Rien de mieux qu’une baise pour mettre de bonne humeur le matin.

Je sentis qu’elle ondulait le bassin sur mon pénis pour tenter de me stimuler toujours un peu plus. Elle ne tarda pas à jouir sur ma queue, stoppant momentanément sa chevauchée pour reprendre son souffle.

— Alors princesse, on ne tient toujours pas les orgasmes ? La taquinai-je.

Elle me répondit par un grognement désapprobateur mais se remit en selle. Soudain, quelqu’un toqua à la porte. Lili fit semblant d’être endormie sur mon buste mais n’eut pas le temps de sortir ma bite de son vagin. Heureusement, elle avait gardé son T-shirt avant de me chevaucher et la couette masquait tout le bas de nous deux corps entremêlés.

— Entrez ! Dis-je.

La porte s’ouvrit et ma mère apparut dans l’encadrement.

— Salut les tourtereaux ! J’espère que je vous réveille pas. Je passai juste vous dire qu’Anna a enfin trouvé des tests de grossesse. Lili va pouvoir se tester dès qu’elle sera levée.

— Ok, super, dis-je sans grande conviction.

— Lili dort toujours ?

Je regardai Lili qui feignait de dormir au-dessus de moi.

— Apparemment, en grimaçant.

J’allais dire autre chose mais ...

... je sentis soudain que Lili s’amusait à contracter le plus fort possible ses muscles vaginaux.

— C’est tout ? parvins-je à articuler.

Ma mère me regardait, intriguée. Pourquoi ne partait-elle pas tout de suite de la pièce ? Je n’allais pas tarder à jouir si Lili ne cessait pas son petit jeu.

— Tu es sûr que tu vas bien, Tennessee ? Tu es tout rouge, fit remarquer ma mère.

Ça y était. La jouissance montait petit à petit en moi et Lili l’avait senti car elle accélérait ses contractions autour de mon chibre.

— Oui, ça va très bien !

— Ok ! Je vous laisse alors !

Au moment où elle claquait la porte derrière elle, je ne pus résister plus longtemps. Je larguai une énorme quantité de sperme dans la petite chatte de Lili qui couina.

— Eh, il est glacé ton sperme ! Se plaignit-elle.

— T’avais qu’à pas me forcer la main, enfin la bite, devant ma mère. Elle nous a quasiment chopé !

— C’était marrant, avoue !

— Pas spécialement marrant. Mais jouissif en effet. Tu m’as littéralement vidé les couilles.

— C’est ce que j’aime entendre, dit-elle en m’embrassant sur la bouche.

Je lui rendis son baiser en lui agrippant les fesses.

— Ma bite est toujours dure. On se refait un round ? Dis-je en détachant mes lèvres des siennes.

— T’as pas entendu ta mère ? Il faut que je fasse le test de grossesse.

— À quoi bon ? C’est quasiment sûr que tu es enceinte vu le nombre de fois où on a baisé !

— T’as peur de plus pouvoir me baiser si je suis enceinte ? ...