Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (15) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (15)

JOUR 30 - Après-midi

Je quittai ma chambre et Lili après l’avoir inséminée pour la quinzième fois en seulement 6 jours. Elle en redemandai encore et toujours, cette coquine.

Heureusement, mon "entraînement" intensif de deux semaines avec Rose, Judie, Satyne et Zoé m’avait pas mal aguerri côté sexe. J’arrivais à fournir autant de sperme que Lili pouvait en vouloir. Hier, j’avais même réussi à convaincre (ça ne fût pas très difficile) mes quatre blondes de se joindre à nous, comme Lili le voulait tant.

Ce fût une baise plutôt endiablée, mes quatre précédentes conquêtes nous stimulant avec leur langue tandis que nous copulions, ma rousse et moi. Néanmoins, Satyne sembla un peu déçue de ne pas pouvoir déguster mon sperme comme elle le faisait auparavant.

Les autres filles du groupe devaient se douter de quelque chose car Lili et moi passions la plus grosse partir de nos journées dans ma chambre. Mais, elle devait seulement penser que Lili était devenue ma petite amie et non que j’essayais de l’engrosser car l’humanité était en péril.

Côté agriculture, les filles avaient quasiment atteint 500 mètres carrés de plantation. Ma mère avait estimé que ça suffirait amplement et donna un peu de répit à tout le monde jusqu’à nouvel ordre.

JOUR 43 - Matin

Mon sommeil fût agité cette nuit-là. Je rêvai que l’ensemble des quinze filles du groupe disparaissaient et que je me retrouvai seul au monde. Un monde bien triste pour sûr.

Heureusement, mon réveil fût plus ...

... qu’agréable. Lorsque j’ouvris les yeux, je vis sous la couverture que Lili avalait ma bite avec sa chatte toujours aussi étroite, comme elle avait pris l’habitude depuis quelques jours. Nous étions mis d’accord pour que le premier de nous deux qui se réveille (nous dormions ensemble toutes les nuits) s’occupe de l’autre afin de le réveiller en douceur. Mais, je n’aurais pas utilisé le mot "douceur" à ce moment-là pour caractériser l’attitude de Lili.

Elle rebondissait sur ma bite qui s’était bandée durant mon sommeil (la célèbre trique du matin me sert enfin à quelque chose). Elle semblait confondre mon pénis avec une selle car elle la chevauchait comme si j’eus été un cheval et elle une cowgirl particulièrement sexy.

Il y a seulement deux mois, j’aurais largué la sauce au bout de quelques dizaines de secondes seulement devant un traitement aussi appliqué. Seulement, entre temps, cinq filles m’étaient passées dessus et s’étaient relayées pour utiliser mon sexe au maximum. Tout ça forge l’endurance, il faut croire.

Lili vit que j’ouvrai les yeux mais ne cessa pas pour autant son va-et-vient.

— Bien dormi, beau gosse ? Demanda-t-elle entre deux gémissements.

— Non pas trop. J’ai fait un cauchemar pas très sympa. Mais je me sens déjà mieux avec ton traitement.

— Je fais cet effet aux garçons, je sais.

— On dirait plutôt que c’est ma bite qui te fait de l’effet.

— T’as raison. Même après autant de baise avec toi, ta bite parvient toujours à me faire autant de ...