Mes sauveurs
Datte: 02/02/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
hplusag,
fplusag,
couleurs,
couplus,
gros(ses),
complexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
mélo,
Auteur: Salima, Source: Revebebe
... suis discrètement levée et suis allée m’enfermer dans les toilettes où je me suis touchée. Il ne m’a fallu que quelques secondes pour me faire jouir. Ces temps-ci, cela m’arrivait de plus en plus souvent de me caresser, et j’y prenais un grand plaisir.
Je finis par avouer tout ça à Marcelle, qui n’en fut pas le moins du monde étonnée. J’omis malgré tout de lui parler de mes désirs lesbiens, ne souhaitant pas passer à ses yeux pour une anormale. Cet aveu était un appel au secours, car je me sentais totalement incapable de faire par moi-même des avances à son mari. Avec lui, je restais très discrète et parfaitement asexuée, je me sentais totalement incapable de la moindre manifestation sensuelle et du moindre geste d’affection. Le toucher était tabou, même lui serrer la main, je ne l’avais jamais fait. Une des conséquences de mon éducation. Je ne pouvais qu’attendre que l’homme se manifeste…
— Je lui en parlerai, dit-elle simplement avec un petit sourire de satisfaction. Au fait, vous pouvez venir samedi matin ?
Je compris à demi-mot que ce serait le grand jour.
Tremblante de tous mes membres, je me dirigeai ce matin-là vers le lieu où se trouvait l’objet de mes fantasmes, parfaitement consciente que j’étais sur le point de commettre mon premier adultère et par voie de conséquence, aussi, l’irréparable.
Alban était seul, Marcelle était partie faire des courses… Il était assis dans la cuisine devant un bol de café. Crâne d’œuf et larges bacchantes, avec son ...
... marcel il avait tout du chauffeur routier. Il était en fait chef d’équipe dans une boîte de restauration industrielle.
Il me dévisagea de la tête aux pieds, sans rien dire, mais avec un plaisir non dissimulé. Visiblement, il me trouvait très à son goût.
— Approche, ma beauté orientale…
C’était la première fois qu’il me tutoyait. J’en fus toute perturbée. J’avais les jambes flageolantes, elles ne me portaient plus. Il me saisit la main avec fermeté, ce qui m’empêcha de tomber. J’étais comme dans un autre monde, je ne savais plus trop où j’en étais.
— Regarde comme tu es belle. Tu as la grâce d’une vraie princesse.
Malgré ses airs bourrus, il savait parler aux femmes. Je me sentis soudain toute menue entre ses mains bien fermes. Il avait entrepris de me déshabiller, comme ça, de suite, dans la cuisine. Et je me laissais faire, complètement passive, chamboulée dans ma tête, j’avais l’impression que ma vie était en train de basculer et que je n’en avais plus la maîtrise. Les murs tournaient, j’étais comme ivre, je me retins contre la table pour ne pas tomber. Lorsque je repris mes esprits, j’étais presque entièrement nue au beau milieu de la cuisine. Il ne me restait que ma culotte. Ses mains glissaient sur moi partout, passionnées et admiratives, elles me faisaient le plus grand bien, elles m’effleuraient. On ne m’avait jamais touchée avec une telle douceur.
Mon amant joua un long moment avec les poils de mes aisselles, visiblement heureux que je sois très poilue, ...