1. Mes sauveurs


    Datte: 02/02/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, gros(ses), complexe, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, mélo, Auteur: Salima, Source: Revebebe

    ... peu rustre et primate, chauve et bedonnant, jamais je ne pourrais m’en séparer, c’est mon gros nounours ! Reste pour moi, si je veux le garder à la maison, à satisfaire ses grosses envies…
    
    Elle me laissa un instant sur l’expectative avant de reprendre :
    
    — Je crois que si vous couchiez ensemble, tous les deux, je ne serais pas contre.
    
    J’étais rouge et perturbée malgré moi par ces propos plutôt choquants. Marcelle s’aperçut immédiatement de mon trouble.
    
    — Dans l’intimité, il me parle souvent de vous, Salima. « Comment tu la trouves Salima ? » « Comment ça s’est passé aujourd’hui avec Salima ? » « C’est une brave fille que cette Salima. » Une telle insistance est chez lui preuve d’un grand intérêt, même s’il ne le montre pas lorsqu’il vous rencontre… Encore une fois, si un jour vous le faisiez ensemble, je ne serais pas contre.
    
    Cette discussion avec Marcelle m’avait remuée, preuve en est que je pensais de plus en plus au gros Alban et à ses grosses moustaches et que, quand il m’arrivait de le rencontrer, il ne me laissait plus totalement différente. Il avait beau être chauve et grassouillet, il y avait quelque chose qui chez lui me troublait, une bonhomie enjouée qui m’était étrangère mais qui me semblait festive. Il avait tout de l’épicurien primaire et primate, on l’imaginait bien autour d’une bonne bouffe, avec une bonne bouteille, suivie d’une bonne baise, le type même du gros lourdaud facile à vivre qui est satisfait avec un rien - tout le contraire de mon ...
    ... mari. Pour moi, ce gros homme mûr était rassurant, un gros nounours, avait-elle dit, et c’était bien ce qu’il était.
    
    Et, dans sa façon de me regarder, je voyais bien qu’il me trouvait assez à son goût, cela me rassura un peu sur ma capacité à plaire. Même si j’étais laide, comme aimait me le répéter mon mari, je pouvais malgré tout séduire un homme… Etait-ce à cause de mon orientalisme, que je plaisais à cet homme ? Je n’étais pas la première Arabe à intéresser ce contremaître. Mais après tout, pourquoi pas ! J’étais bien, pour ma part, troublée par son ventre bien rond et par ses belles moustaches. Je ne saurais trop dire pourquoi, mais les hommes grassouillets avaient depuis toujours, chez moi, un effet aphrodisiaque. Mon mari était un grand sec, pas étonnant alors que mon mariage soit un échec…
    
    Les jours qui suivirent, je fis plusieurs rêves érotiques en pensant à Alban, et parfois à Marcelle. J’en eus un peu honte mais en même temps, le fait de penser à tout ça me faisait le plus grand bien. Une nuit, il était sur moi, dans la chambre conjugale et sa femme est arrivée, elle m’a demandé si tout allait bien, s’il me faisait bien jouir. Elle m’a touché un peu les seins, puis les fesses. Dans un autre épisode, nous étions toutes les deux dans la cuisine, les poitrines entièrement nues, nous nous touchions les tétons. Je me suis réveillée en nage, complètement perturbée, mon mari ronflait à mes côtés. Mes seins étaient gonflés et mon entrejambe complètement mouillée. Je me ...
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