1. Mes sauveurs


    Datte: 02/02/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, gros(ses), complexe, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, mélo, Auteur: Salima, Source: Revebebe

    ... puis il se pencha pour s’occuper de mes seins. Il prit mes tétons en bouche et les aspira, lentement mais avec force. Il me sembla que toute mon énergie s’enfuyait par mes bouts de seins, des ondes de plaisir parcoururent tout mon corps. Et lorsque je sentis sa main glisser sous ma culotte, la jouissance fut instantanée, forte et terrifiante. Mes jambes étaient comme du coton et ne me portaient plus. Seule sa main qui me tenait fermement dans le dos m’empêcha de chuter d’un seul coup. Il m’accompagna lentement dans ma chute et me déposa doucement sur le carrelage glacé de la cuisine. Son autre main n’avait pas lâché ma toison. Ses gros doigts passaient et repassaient dedans, il semblait s’en délecter.
    
    — Vous êtes une très jolie femme, Salima. Une beauté du sud, exotique et pimentée.
    
    Après ma jouissance, il avait repris son vouvoiement, c’était un bien curieux bonhomme. Il retira lentement ma culotte, tout en admiration devant mon entrejambe. Comme toutes les femmes de ma famille, j’étais excessivement poilue et complexée par tous ces poils, mais Allah m’avait faite ainsi et sans cela j’aurais été une autre.
    
    — Humm, votre beauté n’a pas d’égale, me dit-il en passant et en repassant ses doigts dans ma toison.
    
    Visiblement, il était sincère, respectueux et attentionné. Ce gros nounours avait décidément tout pour plaire. Moi qui l’imaginais un peu vulgaire et brutal… Ses attentions et la profusion de ses caresses achevèrent de me séduire. J’étais désormais prête à me ...
    ... donner entièrement à cet homme, à lui donner tout ce que j’avais de mieux. Sa bouche était maintenant entre mes cuisses, son épaisse moustache mélangée à ma toison brune, il dévorait mon intimité, avec lenteur, avec passion, avec envie. On ne m’avait jamais fait cela, mon mari ne s’était jamais risqué entre mes cuisses, préférant les étreintes brutales et les rapports bestiaux. Je pris conscience tout de suite à quel point ces baisers étaient bons, stimulants et agréables, meilleurs que la meilleure des masturbations. Et sur ce plan-là, mon amant se montra infatigable, il me fit jouir avec sa bouche, se risquant même en des endroits que la morale réprouve.
    
    J’étais brûlante sur le sol froid, pantelante après tout ce plaisir. Alban s’était relevé et me dévisageait avec deux gros yeux tendres et affectueux. J’étais sa petite chose, une reine de beauté affalée sur le sol, il me regardait avec les yeux de l’amour.
    
    Il m’aida à me relever et m’entraîna dans le salon. Il dégrafa son pantalon et sortit sur virilité qui me sembla sur le coup immense, avant de m’inviter à m’agenouiller devant lui. Son gros bedon me fit un effet fou. Tandis que je suçais son sexe, comme j’avais l’habitude de le faire avec mon mari, je ne pus m’empêcher de passer et de repasser mes mains sur ce gros ventre rond. Il était délicieusement obèse et me faisait un effet dément. De même, ses couilles, lourdes et pendantes, étaient pour moi une puissante source d’excitation, j’en avais l’eau à la bouche, ma ...
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