Cap ou pas Cap ? - Histoires de Sexe

Cap ou pas Cap ?

... sympa, et on discute un bon moment. Puis, je retourne dans le jacuzzi, et je croise une femme un peu grosse, pardon, forte. Un peu eurasienne. Âge indéterminé. On commence à papoter, il devient vite évident que son français est un peu limité, elle est allemande, et se caresse sous l’eau.

On passe aux choses plus sérieuses, en sortant du jacuzzi, pour aller dans un coin câlin. Je la pénètre, mets ma pine dans son vagin plein de chair, bien préparé par mes doigts, on baise en missionnaire, mais je glisse du canapé à cause de la condensation. Néanmoins, je remonte, et la baise à nouveau, elle jouit avant moi. C’est pendant le moment où je regarde les mateurs que je vois qu’il y a une femme seule qui nous regarde. Elle est plus grande, un peu moins forte, que celle que je baise. Faut dire que cette femme seule ne m’inspire pas. Vite dit, les femmes se connaissent. On va au bar pour prendre une consommation ensemble.

Elles sont deux femmes allemandes seules, partageant un studio à Héliopolis. Celle que je baise s’appelle Jacintha, a quarante-deux ans, Inge, sa copine, a trois ans de moins. La première parle bien l’anglais, Inge pas vraiment. On parle, et puis Jacintha me fait une proposition. Elles veulent aller au sauna libertin du Port Ambonne, mais dans la partie « couples », qui s’appelle « le 2&2 ». Vu que c’est impossible autrement pour que j’y aille et qu’elles y aillent aussi, dans cette section « couples », elles m’invitent de les accompagner. J’accepte, après un ...

... petit peu de réflexion. Donc, on se rhabille, puis on quitte le Kamasutra.

Il pleut encore, à 18 heures. Jacintha et moi allons dans le ‘2&2’, Inge dans « Histoires d’Ô ». J’ai la boule à l’estomac, car c’est la première fois que je suis « de l’autre côté », mais nous réussissons à entrer, chacun payant moitié, et allons dans les vestiaires. Et c’est entrant dans le club lui-même que je trouve la réponse à ma question du jour : qu’est-ce qu’on fait dans un camp naturiste lors d’un jour de merde ? Ben, on baise, on rebaise, on baise encore, puis, après une courte pause, on baise à nouveau.

Le bar est bondé des couples avec des serviettes autour des tailles. On commande chacun une bière tous les deux, et nous parlons avec deux autres couples australiens. Je dirais qu’il y a au moins vingt, peut-être trente, personnes au bar. C’est bruyant, tout le monde parle. Je me demande si en effet quelques installations sont fermées, mais en effet, deux femmes, dont une blonde avec un côté « bimbo », dansent sur les tables, une sorte de tentative de danser à « gogo ». Le mari de « bimbo » est probablement le plus bruyant du tout, et enlève la serviette de sa femme/copine. Faut dire qu’elle est pas mal foutue…

Lui, il arrive au bar, ne cessant de rire, de parler fort, parfois en français, parfois en anglais, et parfois en allemand. Jacintha me glisse dans l’oreille « il est Suisse ». Comme ce fait explique tout… Le monsieur commence à nous aborder, nous parler (j’ai le sentiment ...