Cap ou pas Cap ? - Histoires de Sexe

Cap ou pas Cap ?

... toujours le bateau ivre à peu près. Quel contraste avec l’ambiance presque morne d’à côté. Jacintha me fait un véritable éloge des qualités de David, et je crois qu’elle est tombée un peu amoureuse de lui. Je décide de ne pas lui raconter à ses tendances pour le travestissement, histoire de ne pas faire une scène. En tout cas, nous croisons deux autres amis allemands, qui sont de la même ville qu’elle, et Jacintha me les présente. Ils s’appellent Willi et Maria, la fin cinquantaine bien épanouie, mature du corps et jeune de tête.

Là, je me sens un courant, un feeling. Elle a du charisme, l’art de la conversation, un corps sans gras, des cheveux roux foncé, presque brunes, la texture d’un bon Bordeaux. Ses yeux pétillent. Nous continuons notre conversation dans le sauna. Ses jolis petits tétons pointent. Jacintha me glisse dans l’oreille « vas pour elle. Il y a quelque chose entre vous deux. » Je lui demande si elle veut aller avec Willi. Elle répond « non, il n’est pas mon type ». Puis, elle dit qu’elle veut profiter des jeunes hommes seuls. Et je lui donne, avec une certaine réticence, mon bracelet. Elle passe à côté, et Maria, Willi et moi passons dans une cabine privée, qu’on ferme à clé derrière nous.

Ce n’est pas la folie véritable, mais c’est sensuel, et je bande plus dur pour Maria que pour des femmes plus belles qu’elle. Je la caresse, toute la longueur des jambes, je mets un doigt, puis deux, dans sa chatte, lisse, accueillante. Elle passe sa main, les ...

... bouts de ses doigts effleurant mes couilles, les paumes soupesant ma bite et son volume, mon gland gonflant dans sa possession. Elle est petite, ne mesure guère 1,60 m. Des petits seins, bonnet B tout au plus. Je couvre ses seins avec des petits baisers, roule le bout de ma langue autour de ses jolis tétons bruns, presque beige foncé. Chaque femme a ses couleurs, ses textures, ses humeurs. Mais elle a aussi le savoir-faire libertin. Je la mets sur le dos, j’enfile une capote, et je la prends, la pilonne, va-et-vient, lent, vite, lent, vite, je ne la quitte pas des yeux, nous sommes tous les deux dans le moment, le temps n’a plus d’importance, que la baise, la baise, la baise.

On retourne, moi sur le dos, elle est en haut. C’est comme une dame à bord d’une bicyclette. Elle monte bien, respire profondément, en contrôle, maîtresse de la situation. Qu’elle est bonne. Enfin, nous finissons, exténués avant de jouir. Je suis obligé de me finir avec la main. Une bonne douche réparatrice. Puis, elle me dit qu’elle doit partir avec Willi, ils sont fatigués, et vont retourner à leur studio. Nous parlons un peu, elle me dit qu’elle connaît Jacintha, et qu’elle est très sympa. Finalement, elle me donne des conseils :

— Dans le libertinage, il ne faut pas attendre. Il faut prendre le courage entre les deux mains. Toi, tu es encore un peu réticent. Il faut se rappeler, c’est l’homme qui propose, et la femme qui décide.

Voilà, à la fois des bons conseils pour la vie libertine, et une ...