1. La Vicomtesse


    Datte: 17/08/2022, Catégories: fh, fhh, hplusag, extracon, campagne, voyage, amour, Masturbation pénétratio, double, fsodo, historique, historiqu, initiatiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... faire. Si vous voulez m’honorer, alors faites-le par l’autre voie. Avez-vous bien compris ma fille ? »
    
    La pauvre Gwendoline n’avait absolument rien compris, ne sachant pas à quoi sa mère faisait allusion. Elle se contenta d’apprendre mot pour mot ce que sa mère avait dit, et jura de lui obéir aveuglément. Madame Du Fermoir s’en trouva un peu rassurée, et monta une garde farouche auprès de sa fille tout au long des six jours et des cinq nuits en relais de poste que dura ce voyage épuisant. Enfin apparurent les contrées boisées du Périgord noir et l’on put découvrir Montsac et son château. En fait de château, il s’agissait plutôt d’une demeure seigneuriale austère, formant avec ses dépendances une vaste cour rectangulaire. Fermiers et artisans, ainsi que leurs femmes, s’étaient démenés depuis plus d’un mois pour rendre à nouveau la demeure habitable. On avait colmaté les trous de la toiture, changé quelques vitres brisées, scellé quelques pierres à la chaux, blanchi quelques murs, fauché et épandu quelques tombereaux de gravier de rivière dans la cour, frotté, briqué, lavé, battu tapis et tentures, allumé des feux d’enfer dans toutes les cheminées afin de chasser cette entêtante odeur de moisi et de renfermé. Bref, le château était acceptable et pouvait paraître entretenu à un œil peu exercé. Les bougres n’avaient en fait réalisé en un mois que ce qu’ils auraient dû faire régulièrement tout au long de ces années sans maître, mais la nature humaine est ainsi faite que la ...
    ... négligence prévaut toujours en l’absence d’autorité. Les Parisiens s’installèrent, le village tout entier se réjouissait de cette fête des noces qui allait précéder celles des moissons puis des vendanges.
    
    Le frère abbé arriva enfin, trois jours seulement avant la célébration, plutôt maussade d’avoir fait ce voyage épuisant pour marier sa petite sœur dans cette campagne perdue où il était cependant né. Mais il se dérida bien vite en retrouvant parmi les servantes la belle Madeleine, de trois ans sa cadette, avec laquelle il avait autrefois perdu son pucelage. La Madeleine était maintenant une femme épanouie, toute en rondeurs appétissantes, veuve de son maréchal-ferrant de mari qui était mort du tétanos dans d’atroces souffrances. Madeleine n’avait pas eu d’enfant de cette union parce que, semblait-il, elle ne pouvait pas en avoir. Dès le second jour, Guillaume avait profité de ce que Madeleine, en toute absence d’innocence, faisait son lit pour ranimer une flamme ancienne. Il se régala de retrouver ce corps à la fois connu et si nouveau dans ses formes acquises, la belle veuve se laissa faire non sans protester quelque peu en poussant des :
    
    — Monsieur l’Abbé… Oh ! Monsieur l’Abbé… N’est-ce pas pécher, Monsieur l’Abbé ?
    
    Il la prit par tous les orifices, trouva une jouissance toute particulière à astiquer son vit entre les mamelles devenues grosses et chaque soir, dès la maison devenue silencieuse, Madeleine allait se glisser dans le lit du prêtre, lui vidant les bourses à ...
«1...345...19»