La Vicomtesse
Datte: 17/08/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
extracon,
campagne,
voyage,
amour,
Masturbation
pénétratio,
double,
fsodo,
historique,
historiqu,
initiatiq,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... les bonheurs de la masturbation partagée, se fourrageant minette les yeux rivés à la main noueuse branlant l’épais braquemart turgescent qui, invariablement, s’épanchait dans la bouche délicate de la Vicomtesse.
À Paris, Gwendoline occupa ses propres appartements couvrant l’étage de toute une aile de l’hôtel particulier du notaire, lui-même habitant l’autre aile. La demeure était autrement plus imposante que celle de ses parents, donnant directement sur la rue avec un porche permettant le passage de carrosse et équipage. Tout le rez-de-chaussée était occupé par les bureaux de l’étude où travaillait un essaim d’employés. La fortune de La Bretesche semblait colossale à sa jeune femme qui avait toute latitude pour effectuer des dépenses vestimentaires. Plus elle était ostensiblement belle et plus le notaire jouissait du plaisir de sortir sa jeune femme en public et d’être ainsi observé et jalousé.
Malgré cette apparente harmonie, Gwendoline était bien obligée de reconnaître que, depuis quelques semaines, les visites de son époux se faisaient plus rares : il ne lui bourrait plus le fondement qu’une fois par semaine. La raison, qu’elle ignorait, en était fort simple : les assauts répétés du notaire avaient fini par distendre les muqueuses de sa jeune femme qui, de fait, était devenue moindre source de plaisir. Le notaire laissait les chairs tendres de son épouse se reposer et se rétracter toute une semaine avant de tenter retrouver la fulgurance qu’il avait ressentie les ...
... premières fois. Mais il avait en quelque sorte déformé son jouet, et rien n’y faisait, il n’éprouvait définitivement plus les mêmes sensations et recommençait de lorgner avec insistance sur les clercs, mais aussi dorénavant sur les toutes jeunes filles du quartier. Pendant ce temps, son épouse souffrait de quelques langueurs que l’agitation frénétique de ses mains sur sa motte ne parvenait pas à dissiper.
Un jour pourtant, alors qu’elle perdait son regard dans l’étroit horizon de la cour intérieure à une fenêtre de son appartement, elle vit entrer sous le porche un grand et beau jeune homme, bien mis de sa personne qui, sentant peser un regard sur lui, leva les yeux vers elle et lui adressa la plus belle des révérences dans un geste large de son chapeau. Elle se retira prestement de son observatoire, non sans avoir constaté que ce beau spécimen masculin ne devait sa toison à aucun perruquier et ses fines moustaches qu’aux talents de son barbier. Son visage respirait la force et la santé, et son regard noir et perçant semblait l’avoir instantanément dévêtue. Elle en fut toute retournée.
Elle passa le reste de l’après-midi à guetter la sortie de cette troublante apparition qui, avant de quitter la cour, ne manqua pas de se retourner en fixant son regard de braise vers ses fenêtres. Elle n’eut que le temps de relâcher le rideau qui la protégea de ce faisceau ardent. Elle prit goût soudain à l’observation des allées et venues dans l’hôtel, et finit par repérer que ce troublant ...