1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1525)


    Datte: 17/08/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... disant :
    
    - Poses tes avant-bras au sol, passes-les autour de Ma jambe, sans la toucher, poses délicatement tes lèvres sur Ma chaussure, tends tes fesses, cambres tes reins, écartes les cuisses largement.
    
    J’obéissais scrupuleusement aux exigences données, corrigeant ma posture au fur et à mesure des consignes données. Mes genoux me faisaient mal, mon sexe dur et comprimé était plus que douloureux, mais je n’avais nulle envie de me plaindre, car tellement heureux de me retrouver dans cette condition de chien soumis. Et à ce moment-là, je compris le véritable bien-être que visiblement devaient ressentir les deux femelles en laisse qui restaient dans une immobilité parfaite
    
    - Allez lèche bien alex, je veux sentir ta langue, je veux te voir prendre du plaisir à honorer le Maitre que Je suis. Détends-toi, dis-toi que ta place est ici, près de Moi. Ecarte un peu plus encore les jambes, n’aies pas peur de montrer ton petit trou, offre-le, à Moi d’abord, à la nature ensuite, à ceux qui pourraient le regarder. Sens-tu les derniers rayons du soleil venir darder ta rondelle. Tu es beau, tu sais alex en te débauchant et te dévergondant ainsi pour Moi, parce que Je l’exige et le veux, parce qu’aussi, c’est ta propre Nature servile de vivre tout simplement ce que tu es…
    
    Ses paroles m’aidaient, je faisais fi de tout ce qui pouvait se passer autour de moi, j’en oubliai la présence de ces deux magnifiques créatures féminines et je me concentrais sur ce Pied, en le léchant ...
    ... presque amoureusement. De temps à autre, Monsieur le Marquis se penchait pour caresser mes fesses, pour effleurer mon anus du bout de Ses doigts. Je frissonnais de plaisir et de bonheur, sentais ces frissons courir le long de ma colonne vertébrale.
    
    - Tu as bien nettoyé ton petit cul de salope, alex ?
    
    Je hochais de la tête pour confirmer, sans pour autant lâcher cette chaussure de toile.
    
    - Mets-toi à quatre pattes, alex, tes bras dans l’axe de tes jambes que tu ne dois pas resserrer. Reste ainsi, le regard droit.
    
    Monsieur le Marquis s’accroupissait devant moi me prenait la tête entre ses mains et me questionnait.
    
    - Tu es bien ainsi alex ?
    
    - Oh Oui, Maître !
    
    Je venais de l’appeler Maitre, ce vocal utilisé pour dénommer Monsieur le Marquis était sorti naturellement tout seul, comme une évidence pour moi.
    
    - Tiens, lèche et suce-Moi le doigt, petit chien soumis, imbibe le bien de ta salive.
    
    Avec un réel sentiment de dévotion, je suçais ce majeur tendu. Je le recevais en moi, comme un don divin, générant un effet incommensurable, à me demander même si, là, sur le perron, je n’allais pas jouir sans même me toucher.
    
    - C’est bien alex, je te vois honoré et bouleversé de me sucer ce doigt, qu’en sera-t-il lorsqu’en lieu et place, tu auras Mon Sexe à vénérer ?
    
    Je ne répondais pas, ne réagissais pas… me contentais juste de ressentir ce sentiment d’abandon et d’appartenance, de jouissance mentale.
    
    - Remets-toi en levrette, offre de nouveau ta rondelle à Mon ...