La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1525)
Datte: 17/08/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... bienfaits psychologiques … Me faire ‘traire’… c’était bien le mot utilisé par le Noble. Me considérait-il comme une vache, une brebis, une chèvre ? Peut-être. Il m’avait bien traité de chien soumis, il me l’avait fait dire et redire à haute et intelligible voix…
« Alex, arrête de te faire du mal », me disais-je, ces pensées m’enflammaient, mon corps frissonnait, mon bas-ventre réclamait… mais j’en comprenais enfin les raisons. En effet, depuis cet échange téléphonique avec oncle Frédéric, je savais maintenant pourquoi, j’étais ainsi fait. Je ne voulais rien savoir sur ce qu’avait fait, ou pas fait, mes parents au Château d’Evans, non rien, rien du tout ! Leur vie intime ne m’intéressait pas, je n’avais rien à connaître de leurs expériences, de leurs éventuelles soumissions supposée auprès de Monsieur le Marquis. Seule chose qui me réjouissait, m’exultait, je comprenais désormais et admettais de plus en plus mon besoin de soumission. Il m’était maintenant évident, indéniable, incontestable parce que tout ça était inscrit dans mon patrimoine génétique. Je ne devais plus lutter, plus combattre ce qui me semblait être jusqu’ici le mal, la perversion. Le Châtelain m’avait révélé à moi-même, il m’avait révélé à ma propre Nature…
Trois jours durant, j’étais resté cloitré dans ma chambre, sans presque manger, sans sortir à l’extérieur, sans voir personne hormis Louise, inquiète de ne pas m’entrapercevoir. Je lui avais dit que je travaillais dur sur mes projets d’installation ...
... ici à la Bastide. Tu parles, trois jours à ne rien faire, seulement à écouter un peu de musique, à ressasser et re-ressasser mille fois cet entretien avec Monsieur le Marquis, à me revoir nu devant lui, à ressentir les mains de son Majordome glisser sur ma peau moite, son doigt s’enfoncer dans mon intimité anale, à attendre encore, à me précipiter sur mon téléphone à chaque fois que celui sonnait, à attendre le moment venu où tomberait ma convocation au Château, comme un enfant attendrait le père Noël. Mais rien… toujours rien… J’étais comme un lion en cage, rugissant comme lui parce que mon sexe gonflé et douloureux cherchait la libération, je sentais mes couilles pleines et que je ne pouvais pas soulager. J’avais bien essayé de faire tomber la pression, en essayant de me masturber, avec ma main, la chose était impossible… J’avais tenté de frotter mon bas-ventre contre le matelas de mon lit, ce n’avait été que supplice et souffrance supplémentaire. Alors pour calmer mes ardeurs sexuelles, j’essayais de temps à autre, de tremper mon sexe encagé dans une grande bassine d’eau froide… Non, pensais-je, Monsieur le Marquis, la frustration ne me faisait pas du bien ! … Et pourtant, je ne me rendais même pas compte que si ! Car si elle empêchait ma forte libido de s’exprimer, elle me rendait de plus en plus dépendant de ma servilité innée et latente, qui, il y a encore peu de temps m’était encore insoupçonnée... Il était 19 heures, lorsqu’enfin, je recevais un SMS de Walter :
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