1. Cinq Jours.


    Datte: 14/08/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... habituelle qui dit : « Pinces sur ton clitoris et tes mamelons, Bandeau sur les yeux, Bâillon dans la bouche, nue, les bras menottés au bureau, le cul face à la porte, pliée sur le bureau les jambes écartées.
    
    Effrayée, elle suit lentement les instructions. Elle réalise une fois qu'elle est menottée qu'elle n'a pas la clé pour se détacher.Elle espère que Harris passera et la détachera à 17h00.
    
    A 9h30, rien ne s'est encore passé, à part son exposition forcée. Elle ne sait pas qui a pu la voir et elle mouille.
    
    A 9h45, elle entend le bruit d'un braguette que l'on descend derrière elle. Un instant plus tard, une première bite se fraie un chemin dans sa chatte humide.
    
    Au cours de la journée, sa chatte et son anus sont visités 24 fois au total. C'est bien plus que le nombre d'employés qu'elle supervise. Certains la baisent doucement et elle aime ça. D'autres la baisent brutalement, et c'est encore mieux.
    
    Les pinces sur son clitoris et ses mamelons lui font mal, mais c'est une bonne douleur. Et toutes les deux heures, une main anonyme les retire, l'écoute gémir alors que le sang revient dans les chairs maltraitées, puis les replace. Au déjeuner, le sperme coule librement de ses deux trous sur le tapis de son bureau.
    
    A 15h00, elle commence à penser à la prochaine semaine à venir, à recommencer de faire son travail habituel tout en sachant que ses subordonnés l'auront vu aujourd'hui. Elle ne peut le supporter. C'est pas seulement l'humiliation de voir leurs regards moqueurs, mais c'est aussi d'être normale, de ne pas avoir de godes en elle. Elle a joui plus fort et plus souvent pendant cette semaine que pendant toute sa vie.
    
    Harris vient la libérer à 17h00. Elle le supplie d'utiliser ses trous. Quand il a fini, elle lui dit qu'elle va remettre sa démission et elle lui demande s'il aimerait avoir une autre relation de travail avec elle comme... proxénète.
    
    FIN.
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