Aïcha, ma perle du désert
Datte: 13/08/2022,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
religion,
enceinte,
bateau,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
double,
fsodo,
aventure,
amouroman,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... simple dans la mesure où, en dehors de la chaleur accablante, je ne peux m’aider de mes mains, perdues qu’elles sont dans cette tenue à peine plus petite qu’un parachute. Qu’à cela ne tienne : à l’autre bout de moi-même, Aïcha vient de me prendre en bouche et, cette fois, elle sait exactement comment s’y prendre ! Décalottage en règle et tout en douceur, léchage de l’extrémité du gland, massage des bourses, bouts de doigts mouillés sur le frein, quelque chose me dit que Marcel doit être dans une forme olympique, raide à en enfoncer des clous.
Demi-tour, droite, la voilà qui descend. Cette fois, il n’est plus question pour moi de rester empêtré dans cette forteresse de tissu, c’est un coup à mourir étouffé. De toute façon, j’ai toujours mon bandeau, Aïcha ne peut donc pas y trouver à redire.
Elle fourrage entre ses lèvres. Comment est-ce que je le sais ? Parce que cela s’entend, pardi ! Un florilège de petits bruits mouillés parvient jusqu’à mes oreilles. Au bout de quelques secondes, je la sens se placer juste au-dessus de ma queue, prête à l’embrochage. Je l’attrape vivement par les hanches avant qu’il en soit trop tard.
— Aïcha, réfléchissez bien, il est encore temps…
— C’est tout réfléchi, soupire-t-elle…
Pas le temps de comprendre, elle vient de se laisser tomber de tout son poids sur ma verge. La douleur est intense… J’ai clairement entendu craquer son hymen lorsqu’elle s’est empalée sur moi. Son hurlement a été terrible et là, maintenant, je l’entends ...
... sangloter… Mais elle ne se déboîte pas pour autant de moi. Elle m’ôte alors mon bandeau, mais, sans surprise, le foulard est toujours en place. Les yeux pleins de larmes reflètent en même temps un immense bonheur.
— Merci… oh… merci…
Nous restons immobiles pendant de longues minutes. Ses pleurs s’arrêtent enfin, et elle commence à me chevaucher lentement, comme si elle voulait s’assurer que la souffrance qu’elle vient de ressentir n’est plus qu’un souvenir. Bien entendu, pendant de longues minutes, elle ne coulisse sur moi que de quelques millimètres, mais les mouvements se font désormais de plus en plus amples. Au début, je suis resté immobile pour ne pas la brusquer, mais, maintenant, je l’accompagne en douceur en ponctuant chacun de ses allers et retours d’un coup de reins tranquille. Bien que menée à un train de sénateur, le regard ravi d’Aïcha laisse à penser que la chevauchée est en train de produire son petit effet… Jusqu’à ce que quelques gouttes de sueur tombent sur mon torse et que tout s’arrête : ma cavalière vient de s’écrouler sur le côté, totalement à bout de souffle. Ses yeux reflètent la rage, la fatigue et la déception.
En fait, c’est assez logique, dans la mesure où, même en haute mer, la chaleur est comme toujours plus ou moins infernale. Et encore, je dis qu’elle est infernale pour nous qui sommes pourtant toujours habillés léger – et encore un peu plus pour moi qui suis tout bonnement à poil – mais qu’est-ce que ce doit être lorsque l’on est fringuée ...