1. Je retrouve la maman marocaine de mon pote


    Datte: 08/08/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Yanis93, Source: Hds

    ... n’étais « toujours pas marié ». « Un beau jeune homme comme toi, tu attends quoi ?! » ma lança-t-elle presque sur le ton du reproche. Je lui expliquais que ça ne m’intéressait pas pour le moment, que je préférais profiter de la vie. Ce qui l’a fit sourire un peu plus. Mais elle insista. « J’ai la fille de ma cousine, elle est brillante, très belle, je pourrai te la présenter… ». J’écoutais mais je ne pouvais m’empêcher de fixer ses énormes seins qui ressortaient sous sa Djellabah. Elle finit par le remarquer. « Tu m’écoutes ? ». « Euh oui tata mais tu sais ça ne m’intéresse pas ». « Pourquoi ? Tu peux au moins la rencontrer ? ». « Je préfère les femmes plus âgées ». Cette dernière phrase laissa un blanc et je vis Malika rougir. Puis elle baissa les yeux sans rien ajouter, avant de partir en cuisine et revenir avec le thé. Elle tenta de changer de sujet, me parlant de sa belle-fille, mais j’étais bien décidé à la chauffer un peu pour voir si j’avais encore une chance. « Tu te souviens de cette journée ? ». « Du mariage de mon fils ? Bien sûr ! J’avais… ». Je la coupa net. « Non pas celle là Tata, celle où on a baisé tous les deux ». Je venais de lui couper le sifflet. Elle me regarda interloquée. Elle cherchait une réponse à me donner. « Euh oui, je m’en souviens, mais ce n’est pas bien, c’était mal ». « Pourquoi ? Tu n’as pas aimé ? ». « Ce n’est pas la question, nous deux c’est mal ». « Réponds-moi, as-tu aimé ? ». Elle me lança un regard plein de reproches, laissa passer ...
    ... un long silence avant de me répondre. « Oui j’ai aimé mais… ». « Arrête avec tes ‘mais’ tata. T’as aimé que je te baise et je suis sûr que là t’en as autant envie que moi ». « Arrête de me parler comme ça » dit elle rouge de colère. « C’était un accident » cracha-t-elle à mon encontre en se levant. Elle me toisait. Je me levais à mon tour et m’approchais d’elle, si près qu’elle senti ma cuisse contre la sienne. « Je suis certain que tu es déjà trempée. Ton mari n’a pas dû te baiser depuis des années, et je ne suis pas ton fils, il n’y a rien d’immoral entre nous » lui dis je en posant ma main sur son épaule. « Non arrête, il ne faut pas » dit elle bien moins convaincante dans la voix. Je testais son refus en laissant glisser ma main de son épaule vers son dos sans qu’elle ne dise mot. Sans réfléchir, je lui pris la bouche sans lui laisser le temps de réagir, il ne lui fallu que quelques minutes pour me donner sa langue qui s’enroulait contre la mienne. J’étais surexcité, ma queue bondissait dans mon pantalon. Collé à elle, elle ne pouvait que la sentir. Mes lèvres se détachaient de sa bouche pour venir embrasser son cou, et descendre jusqu’au de sa poitrine. Elle tentait encore d’opposer un refus entre deux gémissements, « oh oui, hum, il ne faut pas, arrête, hummm ». Ma main descendit pour remonter sa djellabah et s’engouffrer contre son fourreau brûlant, elle était détrempée… « T’es toute mouillée, je le savais ! ». Elle ne dit rien et baissa le regard comme un aveu de sa ...
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