Je retrouve la maman marocaine de mon pote
Datte: 08/08/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Yanis93, Source: Hds
Les années s’étaient écoulées depuis cette fameuse journée du mois de juin. J’avais muri, baisé un paquet de meufs, et mes tendances à l’époque encore balbutiantes à la domination et le sexe hard avaient totalement pris le dessus sur moi. J’avais soif de nouvelles expériences, de trio, de plan dans les caves, chez les couples. Je me souviens de Angelo, un Italien qui vivait à Pantin avec sa femme, m’appelait régulièrement pour venir la déglinguer dans sa chambre à coucher pendant qu’il écoutait à la porte. Et quand on avait terminé, que j’ouvrai la porte, il me remerciait et fonçait vers elle pour coucher avec après mon passage. Bizarre. En même temps depuis j’en ai vu tellement que j’ai fini par trouver ça presque normal. J’avais beau multiplier les conquêtes, souvent d’un soir, je gardais toujours le contact avec ceux qui avaient peuplé mon enfance, la rendant plus joyeuse. Notamment Mounir, mon fréro d’Oujda qui continuait ses allers retours réguliers derrière les barreaux. « Quand on goûte à l’argent facile on ne peut plus bosser pour un salaire de misère » m’avait il dit un soir posés sur les quais de Seine. Si je le voyais toujours régulièrement je dois avouer que c’était moins le cas de sa famille. Son père était constamment au bled, son petit frère et une de ses petites sœurs s’étaient mariés. Sa maman, Malika, restait dans leur appartement du 95 avec la plus jeune. Je l’avais recroisée à quelques reprises depuis notre moment d’égarement, et malheureusement, ça ...
... n’avait plus jamais été comme avant. Cette deuxième maman qui m’avait toujours traité comme un fils n’avait semble-t-il pas encaissé (sans mauvais jeu de mots) notre partie de jambes en l’air spontanée. Pour le mariage religieux de son plus jeune fils, qui avait eu lieu chez eux, elle m’avait à peine regardé, et hormis un Salam et un au revoir, aucun mot n’avait percé ses jolies lèvres à mon égard. J’imagine, que comme moi, elle devait repenser à ce moment chaque fois qu’on se recroisait. Je la voyais, nue, à 4 pattes subissant mes assauts fougueux et désordonnés. Ah si seulement on pouvait remettre ça aujourd’hui, ça serait bien différent, mais bon, vu son attitude je comprenais bien que ça resterait un espoir vain. Le destin ne l’entendait pas de cette oreille.
Le printemps fleurissait les quelques arbres qui résistaient tant bien que mal aux vagues de béton. Les investisseurs aux dents longues cherchaient le moindre m2 constructible pour faire pousser leurs résidences dernier cri. Je descendais chercher du pain, croisant quelques anciens refaisant le monde autour d’un café en terrasse. Je les saluais et prétextais une urgence pour ne pas m’asseoir à leur côté. Si j’acceptais, j’en avais pour la journée, et franchement je n’en avais pas vraiment envie. Alors que je quittais la boulangerie ma baguette sous le bras, profitant des premiers rayons de soleil salvateur après un hiver douloureux, mon téléphone se mis à sonner. « Hola Frérot ! ». C’était Mounir. Sa voix enjouée et ...