Je retrouve la maman marocaine de mon pote
Datte: 08/08/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Yanis93, Source: Hds
... place au doute. Malgré l’évidence mon esprit pervers reprenait le dessus, je la revoyais à genoux suçant ma queue comme une chienne, hum… « Et si je lui cassais son gros cul ? ». Oula, il fallait que je me calme ! Ou pas…. Et si j’essayais de provoquer les choses. La baiser une seconde fois, sans aucun tabou ça pourrait être tellement bon. « Arrête de rêver gros et puis elle ne sera surement pas là ».
Parti de bon matin, j’arrivais en fin d’après-midi sans aucune difficulté rencontrée sur le parcours. Hormis un arrêt pour mettre de l’essence et avaler deux sandwichs triangle au thon, rien à signaler. Une fois garé dans le parking, je pris l’ascenseur. J’avais les clés de la maison, mais je fis d’abord résonner la sonnette pour ne pas m’introduire chez Malika de cette façon. Je ne savais même pas si elle avait été prévenue. Rien. Je sonnais une seconde fois. Toujours rien. Je fis entrer la clé dans la serrure, pour pénétrer dans l’appartement. « Tata ? », « Tata ??! ». Aucune réponse. J’étais seul. Dommage me dis je l’espace d’un instant avant de reprendre mes esprits. Dans la chambre de Mounir je mis les clés derrière la TV comme prévu tentant de trouver un endroit discret. Après être allé me soulager aux toilettes, je me dis que vu que j’étais solo, je pourrais prendre une douche rapide avant de repartir. Après la route, et avant de me taper les transports, ça ferait du bien. Je pénétrais dans la salle de bain, pour me jeter sous l’eau chaude réparatrice. En sortant, je ...
... pris la première serviette qui me passait sous la main quand j’entendis le cliquetis de la serrure. J’avais laissé mes Stan Smith à l’entré ce qui forcément lui mis la puce à l’oreille. « Y a quelqu’un ? » criait-elle avec un soupçon d’inquiétude dans la voix. « Oui tata c’est moi ! » dis je le plus fort possible pour qu’elle m’entende. Je n’eu aucune réponse. J’accélérai le mouvement. En quelques minutes j’étais séché et rhabillé. A peine sortie de la salle de bain, je la trouvais de dos dans le salon en train de mettre des gâteaux et du jus sur la table. Ses formes avaient pris encore plus de volume, son cul, si large, roulait de gauche à droite à chaque fois que ses pieds changeaient de position. Elle portait une djellabah noir avec des motifs bleu foncé. Je ne sais pas combien de temps dura ce moment avant qu’elle ne se retourne et me salue. Elle arborait un très joli sourire et ne semblait pas surprise de me trouver là, visiblement son fils l’avait prévenu. Elle portait un voile noir qu’elle garda en ma présence, ce qui n’était pas habituel entre nous. Elle insista pour que je mange quelques gâteaux, avant de me parler de la famille, me questionner sur les activités de Mounir. Questions que j’éludais au maximum, « je ne sais pas tata, je crois qu’il essaye de reprendre le droit chemin ». Je mentais et elle le savait mais elle souriait. Un sourire à faire tomber n’importe quel homme. Elle me demanda des nouvelles de ma mère, de mon travail, insistant sur le fait que je ...