1. Ma femme et le Le Marchant de légumes (2) :


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... saillie sauvage. Ma femme était couchée le dos sur le lit, les cuisses, largement ouvertes, les jambes croisées sur le dos de l’homme qui pilonnait sa chatte.
    
    Je voyais nettement son zob noir qui transperçait la chatte blanche de ma femme. L’homme n’était pas poilu, et son corps puissant brillait dans la clarté de la caravane. Son dos et ses cuisses étaient musclés et ses coups de reins devaient donner une plaisir fou à ma femme qui gémissait d’une voie étouffée par la jouissance. Soudain, elle cria un grand coup « doukkou !doukkou ! hahi jatni ! jatni ! ahhh ! » (Enfonces le ! enfonces le ! elle arrive ! j’arrive ! ahhh !). Elle a du avoir un puissant premier orgasme pour crier ainsi.
    
    L’homme grogna un rire sourd et lui dit « mazal ! mazal zébi e’mtine ! mazal e’n’jib’ha’lak zouj wa tlatha ! ya qahabti ! » (Encore ! encore ! mon zob est encore gonflé ! je te donnerais deux et trois autres orgasmes ! ma putain !).
    
    Et je voyais qu’il accélérait ses coups et chaque fois qu’il enfonçait son zob, il y allait avec un « ya zébi ! houk ! habbal e’soua lahloua ! » ( ô mon zob ! frottes ! affoles la douce chatte ». Ma femme gémissait et on dirait qu’elle pleurait d’émotions et parfois elle lançait un cri d’hystérie. Et par deux fois encore, je l’ai entendu hurler de jouissance, comprenant ainsi qu’elle venait d’avoir deux autres orgasmes grâce à ce gros zob black.
    
    Et l’homme, formidable de puissance et de résistance, continuait à pilonner la chatte de ma femme. Je voyais ...
    ... même qu’il oscillait parfois des fesses pour tournoyer son zob à l’intérieur de la chatte, puis il se relevait presque complètement et soudain, il s’enfonçait en puissance dans ma femme qui hurle de jouissance.
    
    Et comme à son habitude, elle exprimait ses sensations par la parole « Rah zebek akhchine ! e’ch’3al fi souti e’naar ! » (Ton zob est gros ! Il a mis le feu dans ma chatte !). Et l’homme «Ma t’khafich ! ya qahabti ! e’n’tafiha b’za’n’nat clawya ! hahi jaya ! jaya !» (Ne crains rien ! putain ! je vais l’éteindre avec le sperme de mes couilles ! ça viens ! ça vient).
    
    Et effectivement, dans une crispation de tout son corps, le black s’enfonça encore mieux dans ma femme puis éjacula en force plusieurs jets de sperme pour remplir les entrailles de sa proie. Ma femme ne put s’empêcher de crier sa jouissance en recevant dans ses entrailles le plaisir de l’homme qui la semençait. « a’chourbi ! ya es’soua el’qahba ! e7’lib zébi ! e’chourbi ! » (Bois ! ô putain de chatte ! le lait de mon zob ! bois! » .
    
    Après quelques instants, j’au vu l’homme se retirer de ma femme et s’étendre à ses cotés. Nu, cet homme est un vrai géant, un athlète, un animal sexuel. Mais c’est surtout, à ce moment la, que j’ai pu observer son zob en entier.
    
    Il était plus gros que celui du marchant Algérien et nettement plus long, même très long à ne pas croire. Il a du s’enfoncer jusqu’au ventre de ma femme et son jus devait être la bas, tout au fond de son vagin. Chaque fois qu’il faisait ses vas ...
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