1. Ma femme et le Le Marchant de légumes (2) :


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... perdu dans la gestion exclusive de nos affaires familiales et oubliés nos vies personnelles.
    
    Alors, on a diminué nos relations sexuelles, et quant on y allait, je n’étais pas sur qu’elle arrivait jusqu’à l’orgasme durant nos brefs ébats, et pour finir, on a totalement arrêté durant ces dernières années. Et aujourd’hui, elle jouit pleinement de sa chatte et de son cul et c’est tant mieux pour elle.
    
    Le jeudi matin, dès le petit déjeuner, ma femme est sortie pour faire quelques achats, disait-elle. Comme je commençais à ne plus croire totalement ses paroles, je l’ai suivie, juste après. Elle se dirigea vers le marché mais de l’autre coté de l’étalage de son amant habituel. Le marché étant en cercle presque fermé, elle était donc totalement invisible de son marchant algérien, d’autant plus qu’il y avait beaucoup de monde.
    
    Elle s’arrêta devant l’étalage tenu par deux blacks, un jeune très svelte et qui s’occupait des clients et l’autre plus âgé, trente à quarante ans, et nettement plus trapu, et qui tenait la caisse et aidait parfois le plus jeune. Ma femme se dirigea directement vers le plus âgé et lui tendit la main qu’il serra et lui fit un large sourire.
    
    Ma femme lui rendit son sourire et ils discutèrent un peu. Ma femme semblait désirer quelque chose, un fruit peut-être. Après quelques paroles, l’homme s’adressa au jeune vendeur qui opina de la tête et pris la boite-caisse.
    
    Ensuite, ma femme contourna l’étalage et avec l’homme, ils se dirigèrent vers la porte ...
    ... de la caravane, juste derrière, copie conforme de celle du marchant algérien. Ils entrèrent dans la caravane et fermèrent derrière eux. Ce n’était pas possible, ma femme aurait-elle déjà un autre amant dans ce marché ? L’un pour la matinée et l’autre dans l’après midi ! Mais elle est insatiable ! C’était donc un fruit spécial qu’elle était venue chercher, la salope !
    
    Il fallait que je confirme mes soupçons. Alors, je suis passé derrière le marché et j’ai repéré la caravane du black. Elle avait aussi une petite fenêtre ouverte à l’arrière, mais son rideau était tiré. Mais j’entendais ce qui se disait à l’intérieur.
    
    Déjà ma femme, comme à son habitude, ne pouvait s’empêcher de parler « haya habibi ! hatli dhik e’r’zama a’l’kahla ! e’n’douk’ha fi souti ! » (Allez viens mon ami ! donnes moi ce pieu noir ! pour l’enfoncer dans ma chatte ! ». Ils ont déjà eu le temps de se déshabiller, les salops !
    
    Et l’homme « hili f’khadak ya qahba ! » (Ouvres tes cuisses ! putain ! ». Puis un grand remue ménage et soudain un râle mortel, un souffle de ma femme qui m’annonçait que le zob dr l’homme s’est enfoncé avec puissance dans sa chatte affamée.
    
    Puis une série de halètements précipités et entremêlés et des « hans » rauques du black lors des vas et viens de son zob dans les entrailles de la putain. Comme ils étaient très occupés, j’ai eu l’idée de pousser le rideau de la fenêtre et petit à petit, j’ai réussi à les voir.
    
    Et encore une fois, j’ai eu droit au même tableau d’une ...
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