1. Ma femme et le Le Marchant de légumes (2) :


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... et viens, j’étais sur qu’elle a du gouter sa grosseur, sa dureté mais surtout sa longueur incroyable.
    
    Elle a eu raison, ma femme, d’avoir dragué ce type, une nouvelle expérience pour elle et qui me rend encore plus cocu qu’avant. En effet, si je pouvais comparer, sans honte, mon zob, lorsqu’il se gonflait à fond lors de mes masturbations, avec celui du marchant Algérien, il n’y a aucune commune mesure avec celui de ce black.
    
    Son zob énorme brillait de sperme et restait gonflé, pratiquement à la verticale. J’étais même un peu ému et si je ne me connaissais pas, je dirais que, moi aussi, j’avais envie de ce gros zob ! Oui, je l’avoue, je ressentais, à cet instant, quelques frissons au bas ventre et, plus grave, quelques démangeaisons agréables au cul. Serais-je amateur de sodomies à la vue de ce bel étalon black et surtout de son gourdin charnel qui doit certainement affoler et attirer femmes et hommes ?
    
    Enfin, je repris mes esprits et je continuais à espionner le couple. Ma femme restait sur le lit, elle a même étendu ses jambes, je pense qu’elle doit être exténuée après ses trois orgasmes et les derniers coups d’éjaculation de l’homme. Soudain, il se redressa et secoua ma femme « noudhi ya qahba ! hatili teremtek el baydha ! zébi mazal e’mta’n’nane » (lèves toi putain ! donnes moi ta blanche terma ! mon zob est toujours gonflé ! ». Mais ma femme réagissait trop lentement, alors il l’empoigna et la retourna sur le lit, presque avec violence. Ma femme a protesté ...
    ... légèrement, mais elle a obéit aux désirs de son nouvel amant.
    
    En effet, elle aplatit ses seins sur le lit et dégagea vers le haut son derrière tout en écartant les jambes et les cuisses. J’avais compris, l’homme voulait la sodomiser et ma femme se plaçait pour l’opération. L’homme était debout, et la aussi, je constatais sa grande silhouette musclée et son long et énorme zob qui pointait à l’horizontale. Et la aussi, curieusement, j’en ai eu une envie confuse.
    
    Il se plaça, à moitié debout, au dessus des fesses de ma femme, sa main droite tenant son zob et l’autre farfouillant la terma, cherchant l’anus de sa proie. Rapidement, il trouva l’entrée et enfonça son gros zob dans l’anus de ma femme qui émit un petit gémissement de douleur « bi ch’wya ! qari mazal jédid ! » (Doucement ! mon cul est encore tout nouveau !).
    
    Malgré sa jeune expérience avec le zob du marchant Algérien, le cul de ma femme rencontrait un gourdin d’une autre dimension. Puis, je l’entendais dire « Ah ! ch’7aal zebek wa3ar ki i’hil qari ! wa me’n ba3ad ch’haal e’dakhla zebek h’louwa ! » (ô ! que ton zob m’ouvre difficilement le cul ! mais ensuite ton zob entre avec jouissances ! ».
    
    D’abord l’homme exécuta quelques vas et viens assez lents dans la terma de ma femme, puis il accéléra. Ses coups de zob devinrent violents et je voyais tout son corps qui se soulevait puis s’abattait sur ma femme. Elle gémissait de plaisir au lieu de se sentir agressée par les coups violents de ce géant. Je devinais que la ...
«1...345...8»