Pucelle libertine - 2 - Histoires de Sexe

Pucelle libertine - 2

... entre mes fesses. Comment ça se peut ? Jessica a droit à un mini gode caché dans l’oreille. Fifka pond un œuf, un vrai qu’il casse dans un bol. Et bien d’autres choses qui réapparaissent dans les décolletés des spectatrices. Comment qu’y fait ?

Le patron, maître fesseur lui succède. Dans un silence religieux, la fessée a rougi les fesses de Sakia qui par son plaisir sonore a dû chauffer des libidos. C’est troublant la claque et la caresse du minou, sucré salé…

Le patron demande une volontaire, une arrive en disant moi, moi… Et pan et pan, elle adore et le fait savoir.

Le DJ annonce La Linéa, la vante. Je joue avec la barre, lui fait l’amour. Jessica sort de l’ombre, envoûtante, le ballet torride de séduction commence, nous enflamme. Jess me souffle :

— T’as le feu au cul ce soir !

Je le lui ai communiqué. En bouquet final, nos strings s’envolent, nos minous s’affrontent effrontément complices. Le vrai cunni sans tissu de Jessica sur moi a chauffé grave la salle.

Comme la veille, un ban nous a salués.

Après un petit rafraîchissement, nous passons parmi les tables. Les gens sont super sympas, les compliments font plaisir. Mon cœur fait un bond, mes parents sont installés à une table du fond. Je fais un petit signe, ils me répondent. Leurs amis aussi. Y sont cool pas possible. Du coup, mon stress secret s’envole. Il me semble pousser des ailes. J’ai une idée. Je glisse à l’oreille de Fifka :

— Tu vois la femme blonde droit devant avec le boléro résille ...

... noir…
— Heu… Celle avec lechoker noir.
— Oui. Invite-la à la barre, j’t’expliquerai…
— Pas de souci… J’la connais, super cool la nana.

Elle connaît ma mère, maman en nana, mince alors, je ne l’imaginais pas ainsi.

Je m’éclipse.

M’man joue le jeu grave à fond. Elle entame un strip-tease, la voilà seins nus à faire tourner son boléro au-dessus de la tête avant de le jeter derrière elle. Sakia la fait applaudir puis elle la raccompagne à sa table.

Ne voulant pas assister à la débauche parentale, dès que j’ai pu m’éclipser, zou, dodo. J’ai eu un petit rire nerveux avant de m’endormir, Maman a fait ça pour me montrer qu’elle aussi avait du succès.

Le dimanche soir, encore une transe générale. Je vais me coucher sagement. L’obsession de ne pas perdre ma virginité ou des personnes me manque-t-elle ?

Le lundi à 11 heures, nous voilà les quatre dans le bureau du patron. Je me sens toute pimpante, encore ce changement de comportement dans ce bureau.

— Les filles, vous aurez droit à une belle prime, nous avons fait un tabac grâce à vous.
— Merci patron.
— Jess, Caro, l’orgasme en public vous pose-t-il un problème psychologique ? Trois soirées de suite…
— On peut en avoir trois de suite alors un par jour ! dis-je.
— Un psy vous serait-il bénéfique ? Sakia, Fifka ?
— Même pas en rêve. L’orgasme est notre psy, dit Jessica.
— Pareil, ajoutons-nous.

Je ne sais ce qui me chatouille le minou, je glousse un « hi hi » en me trémoussant qui fais dire à Sakia :

— ...