1. Formateur est un beau métier – Géraldine


    Datte: 07/08/2022, Catégories: fh, Collègues / Travail caresses, nopéné, occasion, formation, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... Aussi…
    
    Tendant les bras vers elle, je souris :
    
    — Dans ce cas, qu’est-ce que ça vous coûte que je vous prouve le contraire ?
    — Euh… c’est-à-dire ?
    — Rien de bien méchant, bien entendu. Vous pourrez dire stop à tout moment…
    — Et si vous n’obéissez pas ?
    — Il vous suffira de crier un bon coup et la salle de formation sera envahie. Il y a pas mal de bureaux occupés à notre étage…
    — Vous imaginez le scandale !
    — Justement ! Sans oublier les risques pour ma carrière…
    — C’est vrai…
    
    Elle se met à réfléchir, ce qui est bon signe. Beaucoup d’autres femmes auraient déjà dit « niet ». Puis après quelques longues secondes, elle finit par demander :
    
    — Vous n’allez pas tenter quelque chose de… de malheureux… n’est-ce pas, Viannet ?
    — Ce n’est pas mon intérêt. Rappelez-vous, le scandale !
    
    Ma stagiaire hésite encore un peu, se demandant sans doute dans quoi elle s’embarque. Enfin, elle se décide :
    
    — Bon… OK… faites votre… votre démonstration…
    — Merci Géraldine. Pourriez-vous vous lever, s’il vous plaît ?
    
    Assez dubitative, elle se lève. Je me glisse derrière elle. J’écarte délicatement ses cheveux afin de dégager son cou. Elle s’alarme :
    
    — Vous allez me faire quoi ?
    — Je vous rassure, je n’appartiens pas à la famille de Dracula…
    
    Affichant un faible sourire, elle se détend un peu :
    
    — J’espère bien !
    
    C’est alors que je l’embrasse dans le cou. Elle sursaute, tout en poussant un petit cri :
    
    — Yiiik !
    — Alors ? Tout va bien ?
    — Euh… oui… ça… ça ...
    ... surprend…
    — Ça vous dérange si je continue ?
    — Euh… je… je ne suis pas contre…
    
    De ce fait, comme je suis conciliant, je dépose à nouveau un autre baiser dans son cou. Elle frémit, elle respire fortement, mais ne dit rien. Alors je continue avec un troisième bisou. Elle vibre à nouveau, mais elle ne dit rien non plus, quand je pose mes mains sur ses hanches.
    
    Qui ne dit mot consent. Donc je continue le long de son cou, de son épaule à sa nuque, puis je croque le lobe de son oreille, je la sens frémir sous les mains. Je susurre à son oreille :
    
    — Vous sentez-vous toujours aussi… rouillée ?
    — Ha-hem… de… de moins en moins…
    
    Je continue, tandis que mes mains glissent de ses hanches à son ventre. Je la rends de plus en plus captive entre mes bras. Elle reste passive, se laissant faire, sans doute curieuse de voir jusqu’où j’oserai aller. Je l’enlace posément, l’embrassant toujours dans le cou. Durant ce temps, mes mains remontent petit à petit. Visiblement, ma stagiaire semble se laisser porter par les événements, jouant les petites choses ballottées par le destin, une attitude que certaines femmes adoptent et qui les dédouane.
    
    À moi de ne pas faire d’impair, tout étant assez audacieux, mais pas trop…
    
    Arrive le moment où mes mains arrivent sous l’arrondi de ses seins. Pas de réaction. Je capture aussitôt les molles masses délicates de Géraldine que je malaxe aussitôt. Bercée entre mes baisers dans son cou et mes mains sur sa poitrine, elle soupire :
    
    — Vos mains font ...
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