Nymphomane, moi ? Tome III (4)
Datte: 07/08/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... était plus qu’énorme rouleau de chair. Je n’avais jamais vu un tel engin. Celle de Victor était déjà énorme, mais celle-là était une « difformité », je ne trouvai pas d’autre mot pour la qualifier. Elle devait mesurer dix centimètres de diamètre, son énorme main velue n’en faisait pas le tour, presque trente centimètres de long. Mandigo, mon acteur porno préféré, noir américain était battu. Une excitation malsaine me traversa le corps, cet énorme tas graisseux allait sûrement me baiser, me pénétrer avec cette bite géante !
Il se mit à la calotter et la décalotter en me regardant avec un grand sourire de me voir à mon tour changée en statue de pierre...
Chaque rétractation de son prépuce découvrit son énorme gland violet.
Sa bite pour l’instant pendait flasque.
— Alors qu’est-ce que tu attends Salope, lèche...
— Elle est tellement grosse, je ne sais pas si...
— Tu as donné ta parole Trixie, alors fais-le ! grommela Victor.
Les mains velues de Marc se mirent à me malaxer les seins, à me tordre les tétons...
Il demanda à Victor s’il pouvait ôter ma nuisette, sans attendre la réponse, il me la fit passer par dessus la tête. Il me fallut les deux mains pour tirer le prépuce vers l’arrière et dégager le gland monstrueux, ma langue en lécha le pourtour, tandis que mes mains allaient et venaient le long de cette hampe monstrueuse. Elle commença à se redresser, et prendre de la rigidité. Je lui caressai, puis léchai ses énormes testicules, ma langue parcourut ...
... la longueur du phallus géant. Sa bite bien que graisseuse devint sous mes caresses d’ une rigidité phénoménale. Le diamètre et la longueur devinrent vraiment impressionnants. Cette expérience démesurée me titilla le bas-ventre, tout en me faisant un peu peur. Mon foutre suinta le long de mes cuisses, je me traitai de perverse de désirer me faire baiser par un tel engin. Je me rappelai les paroles de l’oncle de Gérald, lors du dernier examen gynécologique.
Il m’avait expliqué que la vulve d’une femme était d’une élasticité à toute épreuve, et qu’elle pouvait avec un peu d’entraînement accepter des insertions énormes. Et il me l’avait prouvé en enfilant complètement sa main à l’intérieur de ma chatte. Il m’avait en outre dit que d’après l’échographie, mon vagin mesurait 17 centimètres de long au repos, mais que l’excitation pouvait le faire grandir.
Le gros me fit asseoir face à lui sur ses cuisses, le gland de son sexe rigide me chatouilla sous les seins. Le haut de mes bas fut mouillé de mon foutre.
— Bien, me dit-il, je vais y aller très doucement... je ne veux pas te faire mal ! Mais je vois que tu es trempée petite salope, tu n’attends que ça ! dirait-on !
Et il me mordilla les mamelons durcis autant par le désir que par les petites cordelettes qui les entouraient. Je me levai, jambes largement ouvertes, de deux doigts, j’écartai mes lèvres, il mit son énorme gland à l’entrée de mon vagin.
Mon foutre coula abondamment sur sa verge, les chaînes de mon collier ...