1. Nymphomane, moi ? Tome III (4)


    Datte: 07/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    J’étais parfaitement heureuse, je m’étais habituée aux petits caprices d’Alfred, cela ne me déplaisait pas de satisfaire son candaulisme avec mes ébats avec Victor, Gérald ou Maxime lorsqu’ils nous rendaient visite, ou avec les personnes qu’il me proposait. Il me semblait même que je devenais accroc à ses exhibitions ! Il participait rarement, faisant attention à respecter les consignes de son cardiologue.
    
    Mon boulot m’envoya en stage, je m’absentai presque une semaine. De retour ce jour-là, j’étais en train de prendre mon petit-déjeuner, assise en face d’Alfred. Victor ayant fait le service se tenait debout à côté du maître de maison, dans son sempiternel gilet noir à rayures jaunes. Il me regarda avec un air satisfait, un air d’envie, un sourire aux coins des lèvres, il me sembla que ses yeux pétillèrent de contentement. Alfred lui, eut l’air un peu gêné. Il s’essuya la bouche.
    
    — Bon, voilà Trixie, avec Victor pendant ton absence... nous ne savions pas trop à quoi nous occuper... sans toi, la maison nous paraissait vide... alors pour nous distraire, nous avons joué au poker... et la dernière mise... le tapis... était que si je gagnais, Victor perdait une semaine de gage et si c’était lui, il pouvait prendre ma place en tant que patron pendant trois jours entiers... Et j’ai perdu... ! Donc comme disent les Québécois, dette de jeu dette d’honneur... A partir de maintenant, Victor prend ma place et nous devrons lui obéir... tu es d’accord ? Et tu promets d’exécuter ses ...
    ... ordres comme si c’étaient les miens !
    
    — Mais oui, Alfred, je ne te laisserai pas tomber, je me plierai aux caprices de Victor.
    
    — C’est bien vrai ça ? Tu me donnes ta parole, tu m’obéiras au doigt et à l’œil !
    
    — Oui, Victor vous avez ma parole !
    
    Un large sourire éclaira la face de Victor. Le vieil Alfred se leva et échangea sa veste avec le gilet du majordome. Je pouffai de rire. Avec sa petite taille, il y nageait dedans, et il ressemblait au négatif de guignol.
    
    — Bien dis-je, Alfred vous pouvez débarrasser...!
    
    C’était le week-end, n’ayant pas à sortir, je m’habillai comme Alfred m’avait demandé de l’être : déshabillé translucide béant, porté sur une nuisette complètement transparente s’arrêtant au ras de mon pubis bien rasé, qui le laissait entièrement dénudé, porte-jarretelles, bas noirs. La nuisette comportait deux ouvertures qui laissaient sortir mes mamelons. Mes seins étaient bien galbés et n’avaient besoin d’aucun support.
    
    — Si Mademoiselle Trixie veut bien venir ici, me dit mon nouveau patron. Pour moi, ce déshabillé est superflu, il voile vos magnifiques jambes et vos non moins superbes fesses... Alfred, veuillez le lui enlever... et n’en profitez pas pour la tripoter...!
    
    La jalousie qui ressortait... Je pensai que pendant ces trois jours, on allait rigoler ! Le nouveau domestique ôta le déshabillé. Je me retrouvai face à Victor, seulement vêtue de ma nuisette laissant transparaître bas et porte-jarretelles. Il m’examina, comme si quelque chose ...
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